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Le Propriétaire Absent

Kobayashi Takiji
Date de parution 13/10/2017
EAN: 9782354801618
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
À mi-chemin du reportage et du roman, Le Propriétaire absent peint la vie des paysans à Hokkaido dans les années 1920. Partis défricher et coloniser l’île par milliers après son annexion définitive à la fin du XIXe siècle, ces migrants découvrent les... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurAMSTERDAM
Nombre de pages232
Langue du livreFrançais
AuteurKobayashi Takiji
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution13/10/2017
Poids202 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,10 x 11,50 x 17,50 cm
À mi-chemin du reportage et du roman, Le Propriétaire absent peint la vie des paysans à Hokkaido dans les années 1920. Partis défricher et coloniser l’île par milliers après son annexion définitive à la fin du XIXe siècle, ces migrants découvrent les duretés de l’exploitation et de la lutte. Dans cet ouvrage, l’auteur livre, par des voies détournées, quelque chose de sa propre expérience et dénonce les abus de la Hokkaidô Takushoku Bank, qui l’emploie alors et qui s’en sépare quand paraît ce roman à charge. Après la publication duBateau-usine, voici un autre ouvrage majeur de la littérature prolétarienne japonaise.« Les fabriques de conserves, les bâtiments de l’administration coloniale, les grandes banques, les usines de XX, les canaux, les entrepôts, les parcs, les villas, les automobiles, les bateaux à vapeurs, le quai au charbon… tout ça se mélange, ça hurle comme dans un grand tourbillon. À marcher dans cette ville saturée, on en vient même à douter que quelque part dans ce monde puissent exister des ­paysans tout tordus et couverts de boue. Herbe, montagne, épis, rivières, engrais – c’est ça, un village de paysans ! À ceci près que les habitants d’Otaru, ils n’ont peut-être jamais vu de leurs propres yeux, pas même une fois, un vrai paysan. […] La seule chose, c’est qu’on ne peut plus se laisser avoir éternellement comme des “paysans”. »