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La mort apparente et les inhumations

Le Bon Gustave
Date de parution 26/08/2017
EAN: 9782353743414
Disponibilité Epuisé
Avant-propos de Jean Mabire : Gustave Le Bon : savant indépendant et calomniéAllocution prononcée par Pierre Duverger : Invité d’honneur au « Déjeuner Paul Gaultier »La question de la mort apparente et des inhumations pré­maturées est une question qu... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDUALPHA
Nombre de pages158
Langue du livreFrançais
AuteurLe Bon Gustave
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution26/08/2017
Poids120 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 14,80 x 21,00 cm
Avant-propos de Jean Mabire : Gustave Le Bon : savant indépendant et calomniéAllocution prononcée par Pierre Duverger : Invité d’honneur au « Déjeuner Paul Gaultier »La question de la mort apparente et des inhumations pré­maturées est une question qui, depuis longtemps, a attiré l’attention des législateurs et des savants. Aucune pers­pec­tive n’est plus redoutable, en effet, que celle d’être en­ter­ré vivant ; et par tous les moyens possibles on doit s’efforcer de la prévenir. Un anatomiste célèbre, Wins­low, fut le pre­mier qui fit des études sérieuses sur ce sujet. En 1740, il publia sur la mort apparente une disser­tation dont la con­clusion était, qu’à l’exception des indices fournis par la décomposition cadavérique, il n’existait pas de signes cer­tains de la mort…Quand il publie "De la mort apparente…", en 1866, Gustave Le Bon affronte un pro­blème po­sé globale­ment aux grandes villes euro­péennes moder­nes.Comment s’assurer légalement qu’une personne est effec­tivement décédée, quels délais ou quelles mesu­res respecter, quelles lois à définir ? (Jusqu’au détail néces­saire d’une cloche dans les mor­gues…)S’il s’agissait d’une simple ques­tion de médecine, tout irait vite. Mais la médecine au­jourd’hui encore se con­fronte à un in­connu majeur : mort cérébrale, comas théra­peutiques, la façon dont une cellule émet pour son organisme le signal de sa mort nous de­meu­re globale­ment une énig­me, et continue de poser des pro­blèmes éthiques et juridi­ques insolubles. Mais c’est bien sûr une porte sym­bolique qu’on ouvre : les morts-vivants, et ceux qui sor­tent à la nuit de leur tombe, ou ceux qu’on dé­terre avec les traces mani­festes d’un effrayant combat pour échap­per à la tom­be.Comment avoir confiance dans les signes de la mort, et les­­­quels sont fiables, si chaque fois une histoire prouve le con­­traire ?