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Faux et usages de faux en Histoire

Plouvier Bernard
Date de parution 15/12/2012
EAN: 9782353742264
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Il faut croire que la narration historique n’est pas seulement un plaisir d’esthète ou une activité de savant, mais qu’elle a aussi une certaine importance sociale, puisque de nos jours des parlementaires édictent des lois pour en réglementer l’écrit... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDUALPHA
Nombre de pages386
Langue du livreFrançais
AuteurPlouvier Bernard
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution15/12/2012
Poids350 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 14,80 x 21,00 cm
Il faut croire que la narration historique n’est pas seulement un plaisir d’esthète ou une activité de savant, mais qu’elle a aussi une certaine importance sociale, puisque de nos jours des parlementaires édictent des lois pour en réglementer l’écriture et que des juges ont à statuer sur le cas des contrevenants, ces chercheurs atypiques qui osent réviser les dogmes communément admis.Pourtant, une question mérite d’être posée. L’écriture historique officielle, c’est-à-dire celle de nos merveilleux universitaires, de nos brillants académiciens et de nos sémillants écrivains mondains est-elle digne de foi ? Dans ce livre, on ose prétendre le contraire.Dans une première partie, on tente de démonter une quinzaine de fables bâties pour édifier le bon peuple, de Ramsès II à Lénine, de Galilée à Einstein, de Constantin Ier à Paul Reynaud et Charles De Gaulle. Il est évident que l’écriture de l’histoire contemporaine n’est trop souvent que de la propagande. Ainsi, a-t-on épuré l’histoire d’Adolf Hitler des légendes et des mensonges les plus grotesques.Enfin, dans une troisième partie, l’on a abordé le lieu symbolique du « Devoir de mémoire », Auschwitz et son complexe concentrationnaire, en essayant d’en ôter les scories qui ont donné naissance au négationnisme, puis l’ont nourri.La notion de vérité historique est, par essence, un idéal inaccessible. Cela ne signifie pas qu’il faille renoncer à s’en rapprocher et moins encore qu’on ait licence de la violer délibérément.Table des matièresIntroduction – I – Variations sur quelques thèmes : (la mort officielle de Lénine… l’encyclique Mit brennender Sorge… la bataille de Kadesh, 22 juin 1941 : et si Hitler avait sauvé l’Europe occiden­tale ?… Koursk, la curieuse défaite, un Stalingrad en Normandie ?… Albert Einstein reçoit le Prix Nobel de physique, etc.)II – Les faussaires de l’Hitléromanie : (Légendes concernant la famille d’Adolf Hitler… faux tableaux et faux Carnets… sa sexualité et ses rapports avec l’éternel féminin… son état d’esprit au printemps de 1945 ou les exagérations de Speer… « L’autopsie » soviétique, etc.)III – Les flammes et les chiffres d’Auschwitz : (L’origine des flammes décrites par tant de témoins ; une note sur le bobard du « savon juif d’Auschwitz »… la querelle des chiffres… le nombre approximatif des internés et des morts… les possibilités maximales de fonctionnement des fours crématoires, etc.)