Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

La piraterie barbaresque en Méditerranée XVIe-XIXe siècle

Courtinat Roland, Joyaux Évelyne
Date de parution 01/02/2008
EAN: 9782353741021
Disponibilité Epuisé
Préface d’Évelyne Joyaux.La piraterie barbaresque est d’abord et avant tout un Djihâd maritime, justifié par les guerres de prééminence religieuse entre l’islam et la chrétien­té. La piraterie barbaresque, comme la piraterie chrétienne, s’intègre dan... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDUALPHA
Nombre de pages354
Langue du livreFrançais
AuteurCourtinat Roland, Joyaux Évelyne
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/02/2008
Poids300 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,50 x 14,80 x 21,00 cm
Préface d’Évelyne Joyaux.La piraterie barbaresque est d’abord et avant tout un Djihâd maritime, justifié par les guerres de prééminence religieuse entre l’islam et la chrétien­té. La piraterie barbaresque, comme la piraterie chrétienne, s’intègre dans le contexte des opéra­tions guerrières menées de part et d’autre. C’est par la suite que les écumeurs des mers saisissent tout le profit que la Médi­terranée peut leur ap­por­ter, car elle est un champ d’action propice aux rapines, à la traite des femmes, au trafic des esclaves.De jour comme de nuit, sans trêve et sans relâche, les raïs d’Alger sillonnent toutes les mers à bord de leurs navires. Leur haine des chrétiens aboutit impi­toyablement à une impressionnante série de coups de mains, de harcèlement contre les convois maritimes de transport de troupes et de pèlerins chrétiens à partir des côtes de Barbarie. Au-delà de la piraterie proprement dite, ce nid de vipères qu’était Alger attirait les trafiquants sans scrupule qui se chargeaient du rachat à vil prix des cargaisons capturées et des victimes infortunées qui finissaient aux fers sur les bancs de chiourme, au bagne et vendues au plus offrant sur le marché des esclaves.