Conférence internationale co-organisée avec le Département de Philosophie de la Faculté des Lettres
« Le postulat sur la base duquel j’avais convaincu le Bureau de l’association Kheper de lancer le Programme des Conférences Scientifiques et Techniques Internationales de Kheper par cette conférence est basé sur une fusion de l’ensemble de ces tendances, choix, options, orientations et positions idéologiques, scientifiques, politiques et historiques. Je pense intimement que tous ont plus raison que tort. La tâche des jeunes générations d’aujourd’hui et de demain est donc une éthique panafricaniste, théorique et pratique, intellectuelle et opérationnelle, de la pensée et de l’action en même temps, aux fins d’une mise en commun de tous ces efforts intellectuels et de l’activisme puissant de certains dans tous les domaines, avec les compromis que cela appelle. Ainsi seulement, armant les panafricanistes de toutes les capacités de bâtisseurs et de conquérants qui restaurent la maitrise des frontières, les repoussent / étendent dans le même mouvement, elle permettrait d’élaborer une théorie et une idéologie fortes de l’Afrique actuelle et future fondée sur celles de l’Afrique puissante historique, et donnerait une impulsion politique et sociale suffisamment forte pour une révolution globale, une transformation profonde, totale et radicale de l’Afrique. (…)En effet,« L’Afrique de demain sera donc le produit de son ancestralité (histoire plurimillénaire, legs culturel uniforme), dont sera tirée sa politique culturelle, et de sa projection révolutionnaire contemporaine (quête de souveraineté ; libération de l’Europe et du monde euro-occidental ; unité urgente, nécessaire et indépassable de l’Afrique, car parce que les Africains ont été défaits ensemble, ils devront et ne pourront se libérer des prédateurs arabo-musulmans, euro-chrétiens et d’autres, puis sécuriser leur existence et leur espace politique et économique qu’ensemble ; c’est cette solidarité économique et sécuritaire qui permettra la construction aisée et durable d’un espace de vie viable économiquement, fiable en matière de sécurité et capable de libérer l’homme et la planète des erzats humanistes, idéologiques, économiques, politiques et géopolitiques dont l’occident a recouvert le monde et l’histoire récente). »YAMB NTIMBA D.Président de l’association Kheper
