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GEORGES DE SEVIN DE QUINCY

DE LA TEYSSONNIÈRE Régis-Marie, de Flaujac Robert
Date de parution 15/05/2023
EAN: 9782351133927
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
L’arbre généalogique de la famille de Sevin a été planté en 1447 dans l’ancienne province de l’Orléanais, en Beauce, paroisse d’Orgères, terre de la seigneurie de Villené (ou Villevé). De là, presque aussitôt, une branche a poussé en Île-de-France, u... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurEDISENS
Nombre de pages348
Langue du livreFrançais
AuteurDE LA TEYSSONNIÈRE Régis-Marie, de Flaujac Robert
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution15/05/2023
Poids682 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,00 x 15,00 x 22,00 cm
Le dernier d'une lignée agenaise
L’arbre généalogique de la famille de Sevin a été planté en 1447 dans l’ancienne province de l’Orléanais, en Beauce, paroisse d’Orgères, terre de la seigneurie de Villené (ou Villevé). De là, presque aussitôt, une branche a poussé en Île-de-France, une autre en Agenais, donnant un rameau bordelais puis toulousain et enfin normand.Né en 1891, Georges de Sevin est issu du rameau toulousain de cette famille. En 1919, avec André de Sevin, son frère cadet, il relève le nom d’un rameau éteint en Île-de-France et s’appelle désormais Georges de Sevin de Quincy. En 1923, il devient l’héritier de (presque) l’ensemble des biens revenant à l’aîné de la branche agenaise de sa famille. À sa mort, en 1977, s’éteint avec lui la lignée agenaise des Sevin.En s'appuyant sur un long travail de recherche, Régis-Marie de La Teyssonnière retrace 500 ans d'histoire et plus particulièrement la vie du dernier Sevin de la branche agenaise.Extrait de la préface : « L'auteur a réalisé cet ouvrage pour la postérité. Il s'est retourné vers le passé pour mieux immortaliser les noms de sa famille et rappeler les lieux où ses aïeux vécurent. Ce texte respire la vie, tant les mariages et naissances se succèdent, et les documents fournis, si simples et pourtant profonds, rappellent l'existence de ceux qui ne sont plus. »