Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

La salive, Don Quichotte, le chien, le nuage... et quelques autres petits paquets de philosophie clinique et appliquée

Naudin Jean
Date de parution 06/10/2023
EAN: 9782350882079
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Ce livre a la forme d’un recueil. Il rassemble des textes qui, à la limite de la peinture ou de la poésie, portent non tant sur des longs récits de cas ou des énoncés théoriques que sur des détails de l’expérience vécue. Ces textes, du registre de la... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurENCRE MARINE
Nombre de pages288
Langue du livreFrançais
AuteurNaudin Jean
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution06/10/2023
Poids446 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,30 x 16,00 x 22,50 cm
Ce livre a la forme d’un recueil. Il rassemble des textes qui, à la limite de la peinture ou de la poésie, portent non tant sur des longs récits de cas ou des énoncés théoriques que sur des détails de l’expérience vécue. Ces textes, du registre de la compréhension, tentent d’en repousser les limites, étendant le champ du clinicien vers la perception des formes et des directions de signification qui sont celles de l’analyse existentielle comme de la création poétique, indiquant subrepticement, aux soignants que nous sommes tous, des chemins de traverse.La phénoménologie psychiatrique ainsi porte son intérêt vers la compréhension du monde dans lequel vivent ceux qui soignent et ceux que l’on soigne, autrement dit nous tous : ainsi elle ne porte jamais que sur le soi et le monde, le proche et le lointain, en direction de l’être.Lorsqu’une patiente déclare « avoir perdu l’ouïe de l’oeil droit », chercher à expliquer est vain : reste à tenter de comprendre comment le langage qui dit la souffrance est inséparable du corps vécu qui l’éprouve.Que tout nous « apparaisse étrange et à la fois familier, lorsque l’étonnement d’être nous envahit », n’est-ce pas l’expérience pour tout un chacun mais, pour le malade, l’acmé de la souffrance lorsque, le familier disparaissant, l’étrange s’installe et l’envahit ?Être clinicien, n’est-ce pas tenter d’aider celui qui souffre à retrouver une consonance dans le flux de la vie dont le rythme se perd et s’échappe dans l’angoisse ?