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Marc Antoine

Groslambert Agnès, Wackenier Stéphanie
Date de parution 03/06/2025
EAN: 9782340102224
Disponibilité A paraître: 03/06/2025
Marc Antoine (83-30 av. J.-C.) doit sa célébrité à son rôle politique après la mort de Jules César, et plus encore à son aventure avec Cléopâtre. Personnalité de la fin de la République, il est dans l’ombre du dictateur, de 54 jusqu’à son consulat en... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurELLIPSES
Nombre de pages312
Langue du livreFrançais
AuteurGroslambert Agnès, Wackenier Stéphanie
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution03/06/2025
Poids1 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,10 x 16,00 x 24,00 cm
Marc Antoine (83-30 av. J.-C.) doit sa célébrité à son rôle politique après la mort de Jules César, et plus encore à son aventure avec Cléopâtre. Personnalité de la fin de la République, il est dans l’ombre du dictateur, de 54 jusqu’à son consulat en 44, dont il s’érige en héritier et en vengeur après les Ides de mars. Il passe alors plus de temps sur les champs de bataille qu’au Sénat. Il combat en Gaule, en Italie, contre les assassins de son mentor, contre les Parthes et dans la dernière guerre civile de la République romaine contre l’héritier, Octave.Cléopâtre l’attire vers l’Orient, où il tente de constituer un empire, oubliant que l’Histoire se fait à Rome où sont ses ennemis : une partie du Sénat et surtout ce fils adoptif de César. Vers 34, les difficultés commencent avec les défections de ses amis. Son opposition à Octave le conduit à la guerre en 32 qui se termine par sa défaite d’Actium (31). Cet échec le mène au suicide. Il laisse le champ libre à son rival, devenu l’empereur Auguste, dont la victoire sonne le glas de la République en 27 av. J.-C. La mort de Marc Antoine est suivie de sa damnatio memoriae. Sa mémoire a été salie par les historiens de son temps. Il laisse ainsi à la postérité un souvenir modeste en comparaison de ses illustres contemporains, César, Cléopâtre et Octave-Auguste. Il ne mérite pourtant pas cette condamnation. L’auteur entend ici nuancer ce portrait accablant de l’hostile propagande octavienne.