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Marguerite de Navarre

Duteil Jean-Pierre, Heuclin Jean, Curveiller Stéphane
Date de parution 04/05/2021
EAN: 9782340048027
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Marguerite d’Angoulême (1492-1549) est devenue duchesse d’Alençon par son premier mariage, puis reine de Navarre par le second. Sœur de François 1er, elle est aussi la grand-mère d’Henri IV. Elle reste connue dans l’histoire des lettres sous le nom d... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurELLIPSES
Nombre de pages224
Langue du livreFrançais
AuteurDuteil Jean-Pierre, Heuclin Jean, Curveiller Stéphane
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution04/05/2021
Poids385 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,80 x 16,00 x 24,00 cm
Marguerite d’Angoulême (1492-1549) est devenue duchesse d’Alençon par son premier mariage, puis reine de Navarre par le second. Sœur de François 1er, elle est aussi la grand-mère d’Henri IV. Elle reste connue dans l’histoire des lettres sous le nom de Marguerite de Navarre, auteure longtemps oubliée, et d’autant plus que certaines de ses œuvres n’ont été redécouvertes qu’au début du XXe siècle. Aujourd’hui, l’ensemble de ses écrits révèle qu’elle a largement contribué à l’épanouissement de la langue française, tant en ce qui concerne la poésie que la chanson, le théâtre ou le recueil de nouvelles. Sa lecture exige sans doute quelques efforts, mais elle révèle aussi l’un des plus grands écrivains du XVIe siècle, à l’égal de ceux qu’elle a su aider et protéger : Marot, des Périers, Rabelais. La vie de Marguerite ne se résume toutefois pas à son œuvre. Pendant longtemps l’aspect le plus connu de son existence a été son engagement religieux, non pas aux côtés de la Réforme mais au service de l’humanisme chrétien, illustré par ce « groupe de Meaux » qui n’a pu survivre au déchirement de l’Église. Obstinément convaincue par l’œcuménisme, Marguerite s’attire des antipathies d’autant plus profondes qu’elle joue un rôle diplomatique et politique réel, et longtemps sous-estimé. Elle cherche, au beau milieu du XVIe siècle, à transmettre des notions telles que l’importance de l’éducation ou l’égalité des sexes. Au soir de sa vie, elle décrit dans l’Heptaméron, chef-d’œuvre d’humour et de perspicacité, la société de son temps.