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La société des sciences et des arts de Grenoble (1796-1844)

Favier René
Date de parution 09/10/2025
EAN: 9782336562148
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Après la suppression en 1792 des sociétés académiques créées sous l’Ancien Régime, la vie intellectuelle reprend lentement dans les villes de province. À Grenoble, c’est au médecin Dominique Villars, ancien académicien, que revient de fonder le Lycée... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurL'HARMATTAN
Nombre de pages252
Langue du livreFrançais
AuteurFavier René
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution09/10/2025
Poids300 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,40 x 13,50 x 21,50 cm
Un intermède de l’Académie delphinale
Après la suppression en 1792 des sociétés académiques créées sous l’Ancien Régime, la vie intellectuelle reprend lentement dans les villes de province. À Grenoble, c’est au médecin Dominique Villars, ancien académicien, que revient de fonder le Lycée des sciences et des arts de Grenoble en 1796. Après des débuts difficiles, dus notamment aux réserves des anciennes élites envers les sociétés nouvelles, l’Empire favorise le rapprochement des uns et des autres.Pendant près de quinze ans, le Lycée, devenu Société des sciences et des arts, ne se contente pas d’être une société de savants où s’illustrent aussi bien le préfet Joseph Fourier que le jeune Jean-François Champollion. La société joue également un rôle extrêmement actif d’expertise par ses initiatives propres en matière économique ou comme lanceur d’alertes lors de crises sanitaires. Elle devient surtout un relais indispensable aux enquêtes du préfet comme de différents ministères. Ses liens étroits avec le pouvoir ne sont pas sans conséquences à partir de 1814. La société déjà vieillissante se déchire au moment des Cent jours et s’éteint rapidement, avant d’être rétablie sous la Monarchie de juillet à l’initiative du maire de Grenoble, Hugues Berriat.