Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

L’évolution de l’autorité traditionnelle africaine entre le XVe et le XXIe siècle

Okala Etoga Claude Bertin, Bella Achille Elvice
Date de parution 18/09/2025
EAN: 9782336556673
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Les colons allemands, après s’être assurés de déposséder les rois africains de leurs prérogatives royales, ont établi une hiérarchie traditionnelle au Cameroun. La France, sous l’arrêté n° 244 du 4 février 1933, a officiellement reconnu cette structu... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurL'HARMATTAN
Nombre de pages270
Langue du livreFrançais
AuteurOkala Etoga Claude Bertin, Bella Achille Elvice
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution18/09/2025
Poids320 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,50 x 13,50 x 21,50 cm
Le cas des peuples b?tí du Cameroun
Les colons allemands, après s’être assurés de déposséder les rois africains de leurs prérogatives royales, ont établi une hiérarchie traditionnelle au Cameroun. La France, sous l’arrêté n° 244 du 4 février 1933, a officiellement reconnu cette structure. Après l’indépendance, les dirigeants camerounais ont réorganisé cette institution en édictant le décret n°77/245 en juillet 1977. En effet, en raison des défaillances de l’institution dans la sphère culturelle b?tí, des lacunes dans l’application des règles, de l’arrivée de nouvelles forces en jeu et de l’émergence de nouveaux paradigmes, la chefferie traditionnelle semble être devenue une illusion pour les sociétés africaines situées au sud du Sahara, qui l’ont pourtant utilisée comme un rouage pour la colonisation. Tout comme dans le reste du monde, la démocratie et la décentralisation sont en train de supplanter l’autorité traditionnelle. La présente étude vise donc à vérifier si ces principes sont pertinents pour les peuples du Cameroun, en particulier pour le groupe b?tí, et à proposer leur maintien, ou, à défaut, leur remplacement par une institution ad hoc dans l’État moderne.