Traitement en cours...
Fermer la notification

Victimes d'une panne générale d'électricité dans notre zone d'activité...

nous sommes contraints de fermer notre entrepôt et nos bureaux ce lundi 24 novembre.
Notre service clients conserve l'accès aux emails. Tout comme Dominique, Carl et Pascal, qui sont basés en province et restent pour leur part également joignables au téléphone.

Afficher la notification

Envahir l’Angleterre !

Bouly Jean-Luc
Date de parution 20/11/2025
EAN: 9782336554181
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Tout au long de sa carrière comme général, consul et empereur, Napoléon Bonaparte a incarné cette ambition de la France à établir une hégémonie mondiale à laquelle l’Angleterre prétendait elle aussi. Sur un fond de confrontation idéologique, l’un po... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurL'HARMATTAN
Nombre de pages408
Langue du livreFrançais
AuteurBouly Jean-Luc
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution20/11/2025
Poids616 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,20 x 15,50 x 24,00 cm
L’impossible défi de Napoléon Bonaparte - Tome 1 : 1797-1804
Tout au long de sa carrière comme général, consul et empereur, Napoléon Bonaparte a incarné cette ambition de la France à établir une hégémonie mondiale à laquelle l’Angleterre prétendait elle aussi. Sur un fond de confrontation idéologique, l’un pouvait compter sur sa puissance militaire et démographique, l’autre sur sa domination maritime et commerciale. Faute d’accord négocié durable, la solution devait s’imposer par la force, ce qui signifiait pour l’un comme pour l’autre d’aller vaincre l’adversaire de l’autre côté de la Manche ou sur l’une des mers du globe où s’étendait leur puissance. L’invasion du territoire britannique avait été préparée sans succès à plusieurs reprises par la monarchie française, avant que la France révolutionnaire ne l’envisage à son tour. En 1798 et en 1801, Bonaparte s’inscrit dans cette continuité pour une entreprise dont il mesure rapidement tous les risques. C’est après la rupture de la paix d’Amiens (mai 1803) qu’il prépare avec le plus de soin cet affrontement décisif que l’ampleur des préparatifs et les aléas de la politique nationale et internationale reculent sans cesse. Ce n’est qu’en 1805 que l’empereur, nous le verrons dans le second volume, semble au plus près de relever le défi. La «?pirouette?» finale, vers le cœur du continent, de la Grande Armée rassemblée sur les côtes de la Manche, puis le désastre de Trafalgar ne marqueront cependant pas l’abandon définitif du projet de «?descente?» en Angleterre. Napoléon a compris que sans la reconstitution d’une flotte de guerre puissante, il ne pourrait atteindre son objectif. Pour cela il lui faudrait du temps et la paix continentale…