Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Quel breton parle-t-on à l’école ?

Le Pipec Erwan
Date de parution 12/12/2024
EAN: 9782336460161
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Après avoir connu un fort déclin sociétal, le breton bénéficie aujourd’hui d’une politique linguistique visant à lui redonner visibilité et légitimité. Face au reflux de la pratique familiale, c’est désormais principalement par l’école que la langue ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurL'HARMATTAN
Nombre de pages330
Langue du livreFrançais
AuteurLe Pipec Erwan
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution12/12/2024
Poids500 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,80 x 15,50 x 24,00 cm
Enquête dans une classe bilingue de cycle 3
Après avoir connu un fort déclin sociétal, le breton bénéficie aujourd’hui d’une politique linguistique visant à lui redonner visibilité et légitimité. Face au reflux de la pratique familiale, c’est désormais principalement par l’école que la langue est transmise. Pourtant de nombreuses études ont montré qu’une langue acquise dans un tel contexte peut présenter des différences significatives par rapport à la pratique des locuteurs empiriques. De fait, il est courant d’entendre critiquer le breton que parlent les enfants : artificiel ou littéraire, il serait peu compréhensible pour les locuteurs traditionnels. Partant de ce constat, ce livre entend analyser à titre d’exemple le breton parlé par un groupe d’élèves de primaire d’une classe bilingue du centre de la Bretagne. Les élèves ont été soumis à des tests décrivant leurs compétences phonologiques, grammaticales et pragmatiques en breton. Les résultats montrent certes une influence du français et la percée d’un breton livresque différent des pratiques locales. Mais la résistance de certains particularismes apparaît également, faisant du breton de ces nouveaux locuteurs un phénomène foncièrement composite, qui peut être évalué positivement par leurs aînés.