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Qui se souvient de judas ?

Ait-Ali Youcef
Date de parution 18/08/2016
EAN: 9782334194709
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Il est inconcevable que la « Bâtardise » soit si injustement liée au genre humain, alors que de roturières idéologies, avec leurs gueules de fausses couches qui se survivent sans filiation, n’ont de cesse à s’étendre chaque jour sur des quartiers de ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurEDILIVRE
Nombre de pages148
Langue du livreFrançais
AuteurAit-Ali Youcef
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution18/08/2016
Poids2 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,10 x 13,40 x 20,40 cm
Essai
Il est inconcevable que la « Bâtardise » soit si injustement liée au genre humain, alors que de roturières idéologies, avec leurs gueules de fausses couches qui se survivent sans filiation, n’ont de cesse à s’étendre chaque jour sur des quartiers de noblesse, avec « la froide majesté de la femme stérile » de Baudelaire. Que n’ont-elles pas détruit ou déconstruit avec tous ces « délires à plusieurs » qu’elles inoculent autant à travers une monstrueuse dictature qui mange ses meilleurs enfants, qu’au travers d’une gentille démocratie couchée qui fait ses besoins dans les draps de son peuple ? Dans un monde où elles en font trop, avec des sourires aussi moches que celui de la Joconde, la paix s’est astreinte au service minimum, et les boucs-émissaires à de bien tristes célébrités. Sans elles, on imagine aisément un vieux nazi joyeusement coiffé une kipa et une vieille sioniste fièrement habillée d’un hidjab, se rendant au mariage entre une petite-fille de harki, et un petit-fils d’un chahid. Des images qui auraient pu nous raconter une autre histoire, qui n’invite pas aux champs de bataille, tant les éclats de rire qu’elle peut susciter étoufferaient dans l’œuf, toutes les menaces des obsessions morbides qui regardent tantôt en avant, tantôt en arrière, mais jamais en elles où de belliqueuses idéologies les travaillent minutieusement à l’acide... En définitive, n’est-ce pas là, un mélange des résultats posthumes de ces deux satanés branleurs qu’étaient Nietzsche et Darwin, dont l’un à fait descendre du singe, pour que l’autre déconstruise des idoles, à partir d’une extrémité jusqu’à cette queue, où même le vent fait demi-tour ? Je n’ai pas de réponse à cette question ! Mais l’histoire de ceux-là, est aussi une autre histoire...