Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Des milliers de places vides

Wagneur Alain
Date de parution 15/10/2014
EAN: 9782330037024
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Rentrée des classes, automne 1942. Des enfants manquent à l'appel, laissant des milliers de places vides sur les bancs des écoles de France. Arrêtés lors de la grande rafle de juillet, ils seront portés absents, souvent sans autre commentaire. Alain... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurACTES SUD
Nombre de pages256
Langue du livreFrançais
AuteurWagneur Alain
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution15/10/2014
Poids248 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,90 x 11,60 x 21,80 cm
Rentrée des classes, automne 1942. Des enfants manquent à l'appel, laissant des milliers de places vides sur les bancs des écoles de France. Arrêtés lors de la grande rafle de juillet, ils seront portés absents, souvent sans autre commentaire. Alain Wagneur, directeur d'école à Paris, a cherché dans les comptes rendus des conseils des maîtres, les registres d'inscription et les circulaires administratives de l'époque, comment ses collègues avaient réagi face aux lois antijuives et à l'arrestation de leurs élèves. À travers ce récit, qui se lit comme un roman de l'enquête, il retrouve le souvenir de ces écoliers "partis sans prévenir" et interroge une institution scolaire encore insuffisamment confrontée à son histoire. Il rend aussi hommage aux enseignants qui ont contribué à sauver leurs élèves menacés. Ce texte qui entre en résonance avec notre époque pose inlassablement la question de l'attitude que nous aurions eue en ces heures tragiques, et de celle que nous pourrions avoir si le racisme et la xénophobie devaient gagner la partie sur les principes de la République et de son École.