Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

Souvenirs d'Égotisme : autobiographie et lettres inédites

Stendhal
Date de parution 01/12/2020
EAN: 9782322260461
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Les Souvenirs d'égotisme sont une oeuvre autobiographique de Stendhal. Ils ont été rédigés en 1832, lors du séjour de leur auteur à Civitavecchia. Stendhal y raconte minutieusement sa vie à Paris après la chute de Napoléon, de 1821 à 1830. Le récit e... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBOOKS ON DEMAND
Nombre de pages228
Langue du livreFrançais
AuteurStendhal
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/12/2020
Poids337 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,50 x 14,80 x 21,00 cm
Les Souvenirs d'égotisme sont une oeuvre autobiographique de Stendhal. Ils ont été rédigés en 1832, lors du séjour de leur auteur à Civitavecchia. Stendhal y raconte minutieusement sa vie à Paris après la chute de Napoléon, de 1821 à 1830. Le récit est resté inachevé et n'a été publié qu'en 1892 par Casimir Stryienski. Le titre signifie que Stendhal veut explorer sa propre personne et tenter de se connaître lui-même. L'égotisme n'est donc pas synonyme d'égoïsme - l'égoïsme en constitue plutôt un danger.Extrait : Je me logeais à Paris, rue de Richelieu, dans un Hôtel de Bruxelles, n 47, tenu par un M. Petit, ancien valet de chambre de l'un des MM. de Damas. La politesse, la grâce, l'à-propos de ce M. Petit, son absence de tout sentiment, son horreur pour tout mouvement de l'âme qui avait de la profondeur, son souvenir vif pour des jouissances de vanité qui avaient trente ans de date, son honneur parfait en matière d'argent, en faisaient à mes yeux le modèle parfait de l'ancien Français. Je lui confiai bien vite les 3000 francs qui me restaient ; il m'en remit malgré moi un bout de reçu que je me hâtai de perdre, ce qui le contraria beaucoup lorsque, quelques mois après ou quelques semaines, je repris mon argent pour aller en Angleterre où me poussa le mortel dégoût que j'éprouvais à Paris...