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La pensée politique pour les complotistes

Chaulveron
Date de parution 07/09/2018
EAN: 9782322146901
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
L'antiquité gréco-romaine constitue le fondement de notre civilisation occidentale. Le christianisme étant l'autre versant. Il est d'ailleurs né lui-même sous l'antiquité donnant naissance à l'helléno-christianisme. Nous touchons-là au coeur de notre... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBOOKS ON DEMAND
Nombre de pages368
Langue du livreFrançais
AuteurChaulveron
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution07/09/2018
Poids533 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,20 x 14,80 x 21,00 cm
L'antiquité gréco-romaine.
L'antiquité gréco-romaine constitue le fondement de notre civilisation occidentale. Le christianisme étant l'autre versant. Il est d'ailleurs né lui-même sous l'antiquité donnant naissance à l'helléno-christianisme. Nous touchons-là au coeur de notre vie culturelle. C'est dans ce terreau culturel que notre inconscient collectif prend ses racines. Il m'a donc paru normal de commencer mon étude de la pensée politique avec cette période historique. Le volume suivant concernera sans doute le christianisme et la monarchie d'ancien régime.Un de mes professeur de droit à l'université de Dijon, Monsieur Pierri, aimait dire à ses étudiant que les penseurs grecs avaient tout dit, tout découvert et que l'étude de la pensée politique pouvait s'arrêter avec la mort de Chrysippe, le dernier stoïcien, en 205 avant Jésus-Christ. Tout le reste ne fera que reprendre l'imagination du monde grec, ne sera que le plagiat de cette formidable époquée. Le génie grec est d'avoir tous vue, tout compris et donc tout dit avant les autres. Quelques soit les époques, les plus grands philosophes ne s'y sont pas trompé. Ils puissent leurs inspirations dans le monde hellène. C'est d'ailleurs pour moi un signe qui ne trompe personne sur le talent d'un auteur. Il doit être capable de retrouver son prédécesseur du monde antique pour le citer et l'adapter à l'époque moderne. Pour provocatrice qu'elle soit, la formule est exacte. J'y souscrit des deux mains. C'est ce que je m'efforcerais de montrer tout au long de ce recueil.Monsieur Pieri ne visait que la pensée grecque. A titre personnel j'y inclus également le monde romain. Pour Rome, la question est différente. Aucun romain n'arrive à la cheville d'un Platon, d'un Aristote ou même d'un Diogène. La pensée ne s'exprime pas tant chez les philosophes que dans le monde concret.La ville aux sept collines reprend la philosophie hellène et sa mythologie pour l'adapter à l'Italie. Elle ne produit rien de spécifique. En revanche l'action politique est ici exprimée au-delà du génie. Les hommes de la république romaine s'inspirent certes de Solon, de Dracon ou de Périclès, mais c'est pour porter leurs idées à une ou plusieurs octaves supérieures.