Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Le roman du rock

Bailleux Benjamin
Date de parution 08/11/2025
EAN: 9782312157061
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Comme prisonnier de la vulgarité de ce petit peuple qu’il prétendait défendre, le soviétisme ne put bâtir qu’un univers cafardeux fait d’usines et d’immeubles grisâtres. La « grande aventure » chère à certains intellectuels tua toute beauté et toute ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDU NET
Nombre de pages302
Langue du livreFrançais
AuteurBailleux Benjamin
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution08/11/2025
Poids435 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,20 x 15,00 x 23,00 cm
Comme prisonnier de la vulgarité de ce petit peuple qu’il prétendait défendre, le soviétisme ne put bâtir qu’un univers cafardeux fait d’usines et d’immeubles grisâtres. La « grande aventure » chère à certains intellectuels tua toute beauté et toute transcendance en brisant les idoles des autres religions occidentales et en reniant leurs passées. Deux visions du monde s’affrontèrent, deux doctrines face auxquels nul ne pouvait rester totalement neutre. L’affrontement USA URSS, ce fut la lutte de la liberté contre la tyrannie, de l’ambition contre l’envie, de la beauté contre l’utilitarisme hideux. L’Amérique eut Hollywood, les russes eurent le film le cuirassée de Potemkine. L’Amérique accoucha de Charles Bukowski, John Steinbeck et John Fante, la Russie célébrait les frustrations meurtrières du sociopathe Karl Marx. Le marxisme et son fils gauchisme est une attaque systématique de toute forme de beauté, de courage et d’intelligence, c’est la voie hystérique de la masse moralisatrice. Même le plus fanatique des militants communistes rêvait secrètement des grands espaces américains plus que des goulags de sa chère Russie. Le rock n roll célébra l’inéluctable triomphe de cette vitalité libertaire sur la peste rouge. Le Delta blues avait déjà annoncé la révolution à venir, dont les premiers feux brulèrent dans les bacs brûlants des races records. Pour commencer ce bout d’histoire, évitons de tomber dans cette légende voulant que la misère engendre le crime. Il existe des sauvages qu’aucun confort ne domestique, des individus que leur trop plein de vitalité pousse naturellement au-delà des territoires du bien et du mal. Pour eux, seule existe la force de leur volonté, torrent chaotique que le bras armé de la loi doit sans cesse tenter de soumettre. Chuck Berry ne connut pas la faim, il ne dormit pas dans les rues, il aimait simplement trop la vie pour prendre le temps de trouver une voie raisonnable… La suite dans ces pages.