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Ma vie... De 1939 à 2012

Gorget Paul
Date de parution 06/03/2013
EAN: 9782312008615
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Pourquoi ai-je écrit ce livre ? Lors des fêtes de fin d’année 2008, ma petite fille Julie me dit : « Papy tu as vécu beaucoup de choses, tu devrais écrire tes mémoires ». En janvier 2009, c’était parti mais je ne me doutais pas que c’était pour presq... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDU NET
Nombre de pages432
Langue du livreFrançais
AuteurGorget Paul
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution06/03/2013
Poids603 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,20 x 15,00 x 23,00 cm
Pourquoi ai-je écrit ce livre ? Lors des fêtes de fin d’année 2008, ma petite fille Julie me dit : « Papy tu as vécu beaucoup de choses, tu devrais écrire tes mémoires ». En janvier 2009, c’était parti mais je ne me doutais pas que c’était pour presque quatre ans. Dans ce livre, je veux également témoigner que contrairement aux idées reçues, un enfant unique n’est pas toujours gâté et cela fut mon cas. J’ai essayé d’analyser le pourquoi ? Mon père est parti à la guerre j’avais six mois, il est revenu j’avais six ans, je lui ai dit « Bonjour Monsieur ». Nous avons vécu l’un à côté de l’autre. A dix-huit ans, j’ai réussi à partir à Paris. J’apprenais un métier, j’avais une paye, j’étais heureux. Puis en mai 1959, c’était le départ pour vingt-sept mois en Algérie, après deux ans, l’hôpital pendant quatorze mois pour une maladie grave à l’époque. J’ai eu des idées de suicide…mais je n’avais pas d’arme. Après six mois à l’hôpital, ayant le droit de sortir en ville, je décidai de prendre des cours d’auto-école qui m’ont permis de rencontrer une jeune Bretonne Danielle. Nous avons parlé permis de conduire puis nous nous sommes aimés depuis plus de cinquante ans et nous avons eu un fils. Cette histoire m’a permis de souligner la chance d’avoir vécu à cette époque, avec une période de plein emploi. La population vivait sans trop de souci. Pendant près de trente ans, j’ai œuvré avec ma femme dans les associations. Aujourd’hui encore chaque vendredi, nous sommes à la Croix Rouge. J’ai aidé ma famille et beaucoup les autres mais je sais qu’un jour cela s’arrêtera. Lorsque l’arbitre de ma vie sifflera la fin du match, j’irai dans un vestiaire en bois dont je n’aurai pas la clé.