Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

Garder à tout prix

Guillard Valérie
Date de parution 19/04/2013
EAN: 9782311004526
Disponibilité Epuisé
Un essai à la fois frais et sérieux sur un sujet inédit : la tendance à tout garder, à ne pas savoir ou vouloir jeterNous connaissons tous des personnes qui gardent un tas d’objets alors qu’elles n’en ont plus l’utilité. Elles déploient, pour les con... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVUIBERT
Nombre de pages160
Langue du livreFrançais
AuteurGuillard Valérie
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution19/04/2013
Poids216 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,10 x 14,00 x 20,00 cm
Décryptage d'une tendance très tendance
Un essai à la fois frais et sérieux sur un sujet inédit : la tendance à tout garder, à ne pas savoir ou vouloir jeterNous connaissons tous des personnes qui gardent un tas d’objets alors qu’elles n’en ont plus l’utilité. Elles déploient, pour les conserver, une infinité de stratégies : location d’espaces de rangement, accumulation de cartons au grenier comme à la cave, annexion du garage d’un proche ou des parties communes d’un immeuble… Les magazines ne sont d’ailleurs pas avares de bons plans pour stocker toujours plus ou optimiser le rangement. Cet essai passe les motivations profondes des « gardeurs » au crible d’une analyse qui relève tout autant de la sociologie que de la psychologie et du marketing. Il révèle une tendance récente, courante mais paradoxalement peu connue, véritable reflet d’une société de consommation tiraillée entre l’accumulation à outrance et le rejet du gaspillage. « Très judicieusement, Valérie Guillard a […] décidé de s’intéresser à ceux qui ne jettent rien […]. Quiconque garde un jour un objet le fait pour l’une des raisons que l’auteur met en avant […] mais ces raisons avouées en cachent souvent une autre : l’angoisse de vivre, en se séparant, les affres d’un déchirement aussi intense que s’il s’agissait de quitter une personne. » (Extrait de la préface de Serge Tisseron, psychiatre-psychanalyste).