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Vénus & Hottentote Sarah Bartman

Bredin Jean-Denis, Sandrel Carole
Date de parution 18/03/2010
EAN: 9782262032302
Disponibilité Epuisé
A l'aube des années 80, on pouvait encore "admirer" au Musée de l'homme à Paris en France le moulage et le squelette de la "Vénus hottentote" dont l'étonnant physique fit déplacer les foules au début du XIXe siècle. Retour sur une histoire dramatique... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPERRIN
Nombre de pages168
Langue du livreFrançais
AuteurBredin Jean-Denis, Sandrel Carole
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution18/03/2010
Poids200 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 13,40 x 20,20 cm
A l'aube des années 80, on pouvait encore "admirer" au Musée de l'homme à Paris en France le moulage et le squelette de la "Vénus hottentote" dont l'étonnant physique fit déplacer les foules au début du XIXe siècle. Retour sur une histoire dramatique.Qu'avait-elle de si particulier, Sarah Bartman, femme khoi d'Afrique du Sud, pour qu'au début du XIXe siècle, on l'exhibe comme un animal dressé, dans les foires et au Muséum, devant les badauds d'Angleterre et de France ? Il ne s'agissait pas seulement de l'attraction de ses fesses aux dimensions exceptionnellement généreuses, prodige de la nature aux yeux des savants et bateleurs, mais de particularités intimes qu'elle se refusa à dévoiler jusqu'à sa mort. Alors seulement l'éminent Georges Cuvier, père de la paléontologie, put les examiner, après prélèvements, et sans états d'âmes, comme en témoigne son rapport d'autopsie qui, pendant longtemps, ne choqua personne. Sarah Bartman était esclave, son fessier extraordinaire devait inspirer ce commentaire à un contemporain : "Elle était stéatopyge jusqu'à la faute...".C'est le destin terrible de cette femme, surnommée la "Vénus Hottentote" et dont les "restes", presque deux cents ans plus tard, sont revenus en majesté dans son pays natal, l'Afrique du Sud, que Carole Sandrel restitue ici dans un récit bouleversant. Carole Sandrel est journaliste. Elle a créé la Société de Bernard Lazare, premier défenseur du capitaine Dreyfus. Emu par ce récit, Jean-Denis Bredin, de l'Académie française, en a rédigé la préface.