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La rose et le lys

Schott Cyrille
Date de parution 05/01/2012
EAN: 9782259215299
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Le témoignage surprenant de la relation particulière entre deux monstres de la politique que furent François Mitterrand et Henri D'Orléans, comte de Paris. Entre Charles de Gaulle et Henri d'Orléans, comte de Paris, les liens sont bien... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPLON
Nombre de pages215
Langue du livreFrançais
AuteurSchott Cyrille
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution05/01/2012
Poids290 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,40 x 14,20 x 22,80 cm
Le témoignage surprenant de la relation particulière entre deux monstres de la politique que furent François Mitterrand et Henri D'Orléans, comte de Paris. Entre Charles de Gaulle et Henri d'Orléans, comte de Paris, les liens sont bien connus, entre François Mitterrand et le chef de la Maison de France, ils le sont moins. Leurs relations, pourtant anciennes, valurent au prétendant au trône une place à part à l'Elysée. Les célébrations du millénaire capétien, en 1987, leur offrirent l'occasion de les renforcer. Jeune énarque, conseiller auprès de la présidence, Cyrille Schott fut le témoin de l'étrange relation qui s'était instaurée entre ces deux monstres sacrés de la vie politique française. Dans un récit sobre et vivant, étayé de ses souvenirs et de leurs confidences, l'auteur retrace cette amitié qui n'en portait pas le nom. Car les deux hommes se respectaient et s'appréciaient. Le vieux président socialiste soutint le comte dans la querelle dynastique qui l'opposa à la branche espagnole Bourbon, écartant le duc d'Anjou des célébrations capétiennes en 1987. Pour sa part, le comte de Paris lui offrit son soutien indéfectible ou presque, notamment durant les années difficiles de la cohabitation ou lors de sa réélection. Au cours des années, la mise en avant du chef de la Maison de France, loin de surprendre, témoigna au contraire de la volonté du président-monarque de s'inscrire dans le droit-fil de la " France éternelle ", quitte à mécontenter certains de ses proches socialistes...