Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Mauriac devant le problème du mal

Séailles André
Date de parution 01/10/1994
EAN: 9782252029787
Disponibilité Manque temporaire
Jaurès écrivait jadis que désormais il n'arriverait que du bien dans le monde. Les deux guerres mondiales, la bombe atomique et les camps de la mort ont malheureusement détruit son illusion sur la perfectibilité indéfinie du genre humain. Le message ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurKLINCKSIECK
Nombre de pages280
Langue du livreFrançais
AuteurSéailles André
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/10/1994
Poids336 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 13,60 x 21,00 cm
Jaurès écrivait jadis que désormais il n'arriverait que du bien dans le monde. Les deux guerres mondiales, la bombe atomique et les camps de la mort ont malheureusement détruit son illusion sur la perfectibilité indéfinie du genre humain. Le message de Mauriac est différent : il croit à la présence du Mal dans l'homme et dans l'Histoire, mais grâce à sa foi chrétienne il ne perd pas l'espérance. Il ne dénonce pas l'absurde pour le plaisir d'accuser Dieu ; il évoque « ce mystère du Mal qui engendre la Grâce ».On a voulu dans ce volume rassembler les témoignages d'éminents spécialistes qui se sont réunis au Collège de France pour confronter Mauriac à ce problème du Mal. Après l'échec des idéologies du Progrès, Mauriac nous ramène au centre du problème, qui n'est pas social, mais individuel : les hommes souffrent lorsqu'ils sont humiliés ou, comme dit Mauriac, « mal-aimés », — et ils font souffrir lorsqu'ils se prennent pour des dieux. Pour l'auteur de Thérèse Desqueyroux, de la Pharisienne et du Noeud de vipères, la plus grande faute est l'orgueil et la dureté des pharisiens, et Mauriac pourrait dire avec Bernanos : « L'Enfer, c'est de ne pas aimer ».