Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Paradoxes / Paradossi

Lando Ortensio, Corsaro Antonio, Piéjus Marie-Françoise, Figorilli Maria Cristina
Date de parution 13/06/2012
EAN: 9782251730356
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
« Pourquoi les philosophes de notre temps ne s'efforcent-ils pas d’arracher du sein des hommes cet appétit démesuré de régner, qui d’ailleurs ne procède que d’une volonté de mal ? Partout où règnent les hommes avides de domination, on trouve toujours... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBELLES LETTRES
Nombre de pages592
Langue du livreFrançais
AuteurLando Ortensio, Corsaro Antonio, Piéjus Marie-Françoise, Figorilli Maria Cristina
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution13/06/2012
Poids686 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,60 x 12,70 x 19,30 cm
« Pourquoi les philosophes de notre temps ne s'efforcent-ils pas d’arracher du sein des hommes cet appétit démesuré de régner, qui d’ailleurs ne procède que d’une volonté de mal ? Partout où règnent les hommes avides de domination, on trouve toujours bien peu de justice, les riches piétinent les pauvres et les nobles outragent les roturiers.Pour ma part j’ai souvent dit que je désirerais vivement que l’on observât une vieille coutume de l’île de Taprobane, où l’on choisissait pout prince celui qui était le plus valeureux et le plus soucieux du bien des sujets, et si d’aventure il venait à s’éloigner du droit chemin, on le déposait également par la volonté du peuple… Je voudrais que celui qui doit devenir notre prince y fût contraint par la force, qu’il n’y accédât pas par voie héréditaire, qu’il n’obtînt pas non plus le pouvoir par lui-même, soit par les rames soit par la ruse ; et nul ne doit croire que cette volonté ait en moi d’autre cause que le fait d’avoir vu bien des seigneurs injustes, scélérats et ennemis jurés de leurs vassaux. »Paradoxe VI, Qu’il n’est pas mauvais qu’un prince perde son état.Antonio Corsaro est professeur de littérature italienne à l’Université d’Urbin.Marie-Françoise Piéjus est professeur émérite de littérature italienne à l’Université de Paris X-Nanterre.Maria Cristina Figorilli est chercheur en littérature à l’Université de Calabre.