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Les Mousses d'un vieux presbytère

Hawthorne Nathaniel, Garcin Christian, Gillyboeuf Thierry, Leyris Pierre
Date de parution 06/10/2023
EAN: 9782251454733
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Écrivain américain le plus célèbre de son temps et auteur, avec La Lettre écarlate, d’un des premiers grands romans américains, Nathaniel Hawthorne (1804-1864) n’avait encore jamais vu son autre chef-d’oeuvre, Les Mousses d’un vieux presbytère, intég... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBELLES LETTRES
Nombre de pages432
Langue du livreFrançais
AuteurHawthorne Nathaniel, Garcin Christian, Gillyboeuf Thierry, Leyris Pierre
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution06/10/2023
Poids698 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,30 x 16,20 x 23,90 cm
suivi de Hawthorne et ses mousses par Herman Melville
Écrivain américain le plus célèbre de son temps et auteur, avec La Lettre écarlate, d’un des premiers grands romans américains, Nathaniel Hawthorne (1804-1864) n’avait encore jamais vu son autre chef-d’oeuvre, Les Mousses d’un vieux presbytère, intégralement traduit en français. C’est désormais chose faite. Ce recueil regroupe vingt-six nouvelles, marquées par le puritanisme de la Nouvelle-Angleterre et le poids de la faute du péché (« La Marque de Naissance »), mais aussi par le goût du fantastique (« Plumette »), celui des fables millénaristes (« La Procession de la Vie »), ou le souvenir des procès des sorcières de Salem (« Le Jeune Maître Brown »), tandis que d’autres (« Mme Crapaudbuffle ») possèdent une dimension comique, voire grotesque, qui rivalise avec certains contes d’Edgar Poe.On y trouve aussi une vibrante célébration de la nature (« Bourgeons et Chants d’Oiseaux »), ainsi que des gens de peu et des « effacés » – « Le Vieux Marchand de Pommes », courte nouvelle à propos de laquelle Herman Melville, dans l’éloge qu’il publia des Mousses d’un vieux presbytère, et que nous proposons à la suite de cet ensemble, écrit que Hawthorne est sans doute le seul de sa génération à savoir faire preuve « d’une si profonde tendresse » et d’un « amour si omniprésent ».Dans ces nouvelles, Nathaniel Hawthorne conjugue, avec acuité et virtuosité, ce mélange de réalisme et de fantastique, de pragmatisme et de religiosité qui forge l’identité américaine. Pour Paul Auster, « Hawthorne a compris la noirceur des êtres, une forme particulière de noirceur américaine », qui continue d’exercer une véritable fascination sur le lecteur.