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Grenades et amertume

Lucken Michael
Date de parution 01/01/2005
EAN: 9782251442815
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Au cœur du XXe siècle, le Japon engagea toutes ses forces dans une guerre qui se termina par les deux seuls bombardements atomiques de l'histoire. Les peintres – à commencer par Léonard Foujita (Fujita Tsuguji) – furent appelés par le pouvoir à s’y i... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBELLES LETTRES
Nombre de pages446
Langue du livreFrançais
AuteurLucken Michael
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/01/2005
Poids596 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,30 x 15,00 x 21,50 cm
Les Peintres japonais à l'épreuve de la guerre. 1935-1952.
Au cœur du XXe siècle, le Japon engagea toutes ses forces dans une guerre qui se termina par les deux seuls bombardements atomiques de l'histoire. Les peintres – à commencer par Léonard Foujita (Fujita Tsuguji) – furent appelés par le pouvoir à s’y investir, pour souder le peuple autour de valeurs morales et diffuser la propagande officielle.Cette guerre n’a donc pas été uniquement une affaire militaire ou économique, elle fut aussi une " guerre culturelle ", portée par l’élan positif d’une grande partie de la société et alimentée par un besoin d’être reconnu à sa juste valeur par l’Occident.Comment la société japonaise s’est-elle agrégée autour du projet militariste? Quelles ont été les pressions exercées sur elle? Quels ont été ses héros, ses symboles, mais aussi ses hésitations et ses marges de liberté? En tentant de répondre à ces questions, Grenades et amertume apporte sa contribution au débat récurrent sur la spécificité du nationalisme et du totalitarisme japonais.Mais la guerre ne s’arrête pas en 1945. L’implication de l’armée américaine dans la démocratisation des arts, comme la difficile expérience de la défaite par les artistes, font de la période d’occupation un moment crucial. Le Japon s’est alors posé la question du sens à donner à cette guerre, et a défini les polarités d’un “ après-guerre ” dont il n’est pas nécessairement sorti.