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Mémoires. Tome II : 1474-1483

Philippe de Commynes, Calmette Joseph, Durville G.
Date de parution 01/01/1965
EAN: 9782251340050
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Comme l’exprime le Prologue, les Mémoires de Commynes étaient destinées, dans l’esprit de leur auteur, à servir de matériau à l’archevêque de Vienne, Angelo Cato, pour une histoire de Louis XI qu’il se proposait d’écrire en latin. Commynes se borne d... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBELLES LETTRES
Nombre de pages354
Langue du livreFrançais
AuteurPhilippe de Commynes, Calmette Joseph, Durville G.
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/01/1965
Poids375 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,90 x 12,50 x 19,50 cm
Livres IV à VI
Comme l’exprime le Prologue, les Mémoires de Commynes étaient destinées, dans l’esprit de leur auteur, à servir de matériau à l’archevêque de Vienne, Angelo Cato, pour une histoire de Louis XI qu’il se proposait d’écrire en latin. Commynes se borne donc à consigner des souvenirs. De là le caractère très libre de sa rédaction.L’œuvre se compose de deux parties : l’une, comprenant les livres I à VI, se rapporte au règne de Louis XI ; l’autre, comprenant les livres VII et VIII et présentée comme une suite de la première, se rapporte au règne de Charles VIII.La qualité littéraire de ses Mémoires a assis rapidement l’autorité de Philippe de Commynes. Cette autorité se justifie par une sincérité qui paraît constante, par un goût de l'analyse psychologique qui nous vaut les révélations les plus pénétrantes sur la mentalité des personnages, par un sens du pittoresque capable de donner aux épisodes une fraîcheur de coloris incomparable, enfin par une connaissance directe, étendue, profonde des hommes et des choses. Commynes lui-même est bien de son temps. Son esprit, aussi « subtil » que celui de Louis XI, se meut à travers les intrigues compliquées de ses contemporains. Il nous donne, par cela même, plus qu’aucun autre témoin, la sensation exacte du croisement incessant de ces « marchés », de ces « besognes », dont se tisse la trame de la politique quattrocentiste, aussi bien au pays de Commynes qu’au pays de Machiavel.