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Mémoires

Soult
Date de parution 15/05/2013
EAN: 9782251310053
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Ses soldats le surnommaient « Bras de fer », tant il exigeait d'eux. C'est sans doute cette opiniâtreté qui permit à Jean de Dieu Soult, duc de Dalmatie, d’être celui des maréchaux de Napoléon qui se maintiendra le plus longtemps dans cette infernale... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBELLES LETTRES
Nombre de pages408
Langue du livreFrançais
AuteurSoult
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution15/05/2013
Poids405 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,20 x 12,50 x 19,00 cm
Espagne et Portugal
Ses soldats le surnommaient « Bras de fer », tant il exigeait d'eux. C'est sans doute cette opiniâtreté qui permit à Jean de Dieu Soult, duc de Dalmatie, d’être celui des maréchaux de Napoléon qui se maintiendra le plus longtemps dans cette infernale guerre d’Espagne et du Portugal. Quatre longues années retracées dans ces Mémoires qui débutent avec la descente de l’Empereur dans la péninsule à l’automne 1808 afin de reprendre Madrid. Jean de Dieu Soult est à ses côtés et balaie une partie des troupes britanniques qui doivent rembarquer à la Corogne. Nommé major général des armées en Espagne, il s’empare ensuite de l’Andalousie où il va régner en proconsul mais sans céder un pouce de terrain aux armées anglo-espagnoles qui l’entourent. Beaucoup de critiques ont été émises contre cet homme ambitieux mais aussi redoutable organisateur, administrateur hors pair et que Napoléon, après son action décisive à Austerlitz avait sacré « le meilleur manœuvrier d’Europe » : d’avoir voulu, selon certains, se faire sacrer roi de Portugal, de s’être enrichi, de ne pas avoir porté secours à ses camarades comme Masséna, échoué devant les lignes de Torres Vedras qui ont rendu Lisbonne inexpugnable. Mais comme le dira Napoléon, Soult est la seule « tête militaire » de ce conflit lointain. Les Mémoires du maréchal montrent surtout ce que fut cette guerre cruelle durant laquelle naquit le mot devenu universel de « guérilla » : menée sans moyens, au milieu des intrigues, loin de tout et surtout du regard de l’Empereur qui la méprisait, il fallait effectivement être de fer pour ne pas connaître la défaite. Un texte indispensable pour tous ceux qui s’intéressent à l’épopée impériale et à ce terrible conflit, début de sa chute, qui fit plus 100 000 morts côté français.