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Les Arpenteurs romains. Tome II : Hygin - Siculus Flaccus

Guillaumin Jean-Yves
Date de parution 02/11/2010
EAN: 9782251014579
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Par « Arpenteurs romains » (Agrimensores), il est convenu de désigner une collection de traités techniques, de dates diverses, consacrés à la technique de mesure des terrains, au bornage des propriétés, au tracé des voies, etc., et aux principales co... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBELLES LETTRES
Nombre de pages304
Langue du livreFrançais
AuteurGuillaumin Jean-Yves
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution02/11/2010
Poids308 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,80 x 12,60 x 19,20 cm
Par « Arpenteurs romains » (Agrimensores), il est convenu de désigner une collection de traités techniques, de dates diverses, consacrés à la technique de mesure des terrains, au bornage des propriétés, au tracé des voies, etc., et aux principales contestations que peut rencontrer un arpenteur dans son travail (contestations, comme le précisent souvent les auteurs, de natures purement techniques et solubles toujours par des considérations techniques – à l'exclusion d’argumentations juridiques). Le présent volume (qui fait suite au vol. I, paru en 2005, avec une Introduction générale due à J.-Y. Guillaumin) regroupe les œuvres étroitement liées de deux arpenteurs : d’une part, Hygin (datable des années 97-102, mais que l’on ne doit pas confondre avec aucun des autres Hygin connus) et, d’autre part, Siculus Flaccus. De ce dernier, l’éditeur établit, pour la première fois sur des bases solides, une datation précise : Siculus est contemporain de Dioclétien, entre 292 et 312 ; dès lors, les nombreuses ressemblances que son œuvre présente avec celle d’Hygin doivent être regardées comme des emprunts à celui-ci.Le texte repose sur une collation des quatre témoins autorisés (dont un manuscrit des Ve-VIe s.) ; en dépit de l’ancienneté de ces manuscrits, le texte, comme le montre J.-Y. Guillaumin, est fréquemment corrompu. Une autre circonstance contribue à l’importance de cette édition : on sait que la grande édition des Agrimensores a été faite, au XIXe siècle, par Lachmann : depuis, le texte n’a pratiquement pas été examiné par les philologues, si grande est l’autorité de Lachmann ; or, cette édition est loin d’être parfaite, ses collations sont souvent défectueuses et le mépris dans lequel Lachmann tient ses auteurs n’est que trop clair. Il y avait donc matière à une nouvelle édition. Celle que nous présentons comporte la première traduction française et un grand nombre de notes sur des matières techniques (instruments, mesures, unités, etc.). Elle est complétée par un lexique technique (beaucoup d’attestations de ces mots techniques manquent dans les dictionnaires).