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Discours. Tome II : Pour M. Tullius - Discours contre Q. Caecilius, dit "La Divination" - Première action contre C. Verrès - Seconde action contre C. Verrès - Livre I : La Préture urbaine

Cicéron, La Ville de Mirmont Henri De
Date de parution 01/01/1984
EAN: 9782251010533
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Ce deuxième volume des Discours de Cicéron contient les fragments du Pour M. Tullius, puis le Discours contre Q. Caecilius, dit "La Divination", la Première action contre Verrès et le livre I de la Seconde action contre Verrès, c'est-à-dire les trois... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBELLES LETTRES
Nombre de pages364
Langue du livreFrançais
AuteurCicéron, La Ville de Mirmont Henri De
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/01/1984
Poids380 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,80 x 12,60 x 19,30 cm
Ce deuxième volume des Discours de Cicéron contient les fragments du Pour M. Tullius, puis le Discours contre Q. Caecilius, dit "La Divination", la Première action contre Verrès et le livre I de la Seconde action contre Verrès, c'est-à-dire les trois premières Verrines, qui sont données, toutes les trois, par les mêmes manuscrits.C'est un attentat commis par une familia d'esclaves qui a été l'occasion du Pro M. Tullio. On place ce procès en l'an 72 ou 71. Un certain M. Tullius vivait en paix sur le territoire de Thurium, quand la propriété voisine de la sienne fut achetée en association par Cn. Accrronius et un nouveau riche, P. Fabius, qui avait fait fortune en Asie. Celui-ci s'apercevant qu'il avait acheté trop cher veut duper à son tour son copropriétaire Acerronius, en lui vendant toute la propriété; et, pour la vendre mieux, il y comprend de sa propre autorité une pièce de terre dépendant du domaine du voisin. Tullius proteste. Fabius envoie de nuit sa bande d' esclaves armés détruire le bâtiment élevé sur cette pièce de terre et massacrer les esclaves de Tullius qui y demeuraient. Tullius fait constater l'agression par un grand nombre d'hommes honorables, ses amis et ses voisins et porte plainte.Verrès venait à peine de quitter sa province quand Cicéron reçut de toutes les cités de Sicile, excepté deux, la mission d'accuser de concussion leur ancien propréteur. Il accepta mais n'était pas sûr de pouvoir intenter cette accusation. En effet, dans les procès importants, l'accusation, comme la défense, était partagée entre plusieurs orateurs. L'aristocratie romaine, toute dévouée à Verrès et toute puissante auprès des tribunaux, avait trouvé pour remplir le rôle de l'accusateur un homme de paille, Caecilus Niger. Le Discours contre Q. Caecilius rapporte comment Cicéron l'emporta sur son misérable adversaire et fut constitué accusateur de Verrès.La première action n'est, à proprement parler, que l'exorde de l'accusation que Cicéron devait prononcer contre Verrès. Il y expose les faits qui condamnent Verrès et menace sans ménagement les juges de l'indignation du peuple, s'ils ne prononcent pas la condamnation du coupable et ne rétablissent pas ainsi l'autorité si compromise du pouvoir judiciaire confié à l'ordre sénatorial.La seconde action présente les discours que Cicéron avait préparés pour le procès mais qu'il n'eut nul besoin de prononcer, Verrès s'étant condamné lui-même en s'exilant volontairement, accablé par les témoignages et les documents portés contre lui.