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Les pouvoirs du Parlement sur les finances de la sécurité sociale - Étude des lois de financement de la sécurité sociale

Dufour Anne-claire
Date de parution 21/03/2012
EAN: 9782247117642
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Cette thèse étudie le pouvoir de contrôle du Parlement sur les politiques de sécurité sociale lors du vote des lois de financement dans le contexte de la constitutionnalisation de sa mission d'évaluation.En reconnaissant au Parlement le droit de vote... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDALLOZ
Nombre de pages520
Langue du livreFrançais
AuteurDufour Anne-claire
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution21/03/2012
Poids790 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,00 x 15,70 x 23,70 cm
Cette thèse étudie le pouvoir de contrôle du Parlement sur les politiques de sécurité sociale lors du vote des lois de financement dans le contexte de la constitutionnalisation de sa mission d'évaluation.En reconnaissant au Parlement le droit de voter chaque année une loi de financement de la sécurité sociale, la révision constitutionnelle du 22 février 1996 a définitivement mis un terme à l'exclusion du Parlement des choix financiers relatifs à la sécurité sociale. Telles qu'elles ont été redéfinies par la loi organique du 2 août 2005, les lois de financement peuvent ainsi être le support de débats parlementaires riches et stimulants autour des conditions générales de l'équilibre financier de la sécurité sociale. Elles n'ont pourtant pas convaincu et la tentation reste permanente de les fusionner avec les lois de finances. Certes, alors même que la pérennisation du financement de la sécurité sociale est au cœur des préoccupations des citoyens et donc du Parlement, les objectifs de dépenses votés en loi de financement, y compris l'objectif national des dépenses d'assurance maladie (ONDAM), ne permettent pas de réguler les dépenses de la sécurité sociale. Le Parlement assiste alors à la dérive des comptes des régimes et organismes sociaux. L'impuissance du Parlement n'est cependant pas totale dès lors qu'émergent les moyens lui permettant d'exercer un contrôle de la performance des politiques de sécurité sociale. Cette vocation méconnue des lois de financement mérite toute l'attention des parlementaires dont la mission d'évaluation a été récemment constitutionnalisée.