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Le nouveau nom de l'amour

Cannone Belinda
Date de parution 02/09/2020
EAN: 9782234089310
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
De nos jours, le couple serait en crise, et le mariage en déclin. Cette crise serait due au capitalisme, à l’hypersexualisation de la société, à Internet ou à l’on ne sait quelle incapacité de la jeunesse à s’engager.Pour comprendre ce que sont deven... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSTOCK
Nombre de pages240
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurCannone Belinda
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution02/09/2020
Poids292 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,00 x 13,50 x 21,50 cm
De nos jours, le couple serait en crise, et le mariage en déclin. Cette crise serait due au capitalisme, à l’hypersexualisation de la société, à Internet ou à l’on ne sait quelle incapacité de la jeunesse à s’engager.Pour comprendre ce que sont devenus l’amour, le couple et le désir, Belinda Cannone retrace les métamorphoses du sentiment amoureux. L’histoire du mariage nous apprend ainsi que l’union « pour toujours » est une invention chrétienne, que le mariage d’amour émerge à la fin du XVIIIe siècle, et que ce sont les révolutions du XXe siècle qui ont érigé le désir en ingrédient indispensable de la réussite du couple. Cette révolution ne va pas sans problème : l’amour, en se transformant, peut durer une vie, alors que le désir est plus fugace. Dès lors, pourquoi continuer à vivre dans un couple où le désir s’est dissipé ? En effet, nous tendons à présent à former au cours de nos vies des couples successifs, non pérennes. Mais si ce problème n’en était pas un ? S’il s’agissait simplement d’une profonde mutation du couple, qui n’est pas pire – voire qui est meilleure, plus riche – que les versions antérieures du couple ? Bien sûr, cette renonciation au « pour toujours » n’est possible que si l’on reconnaît la noblesse du désir. Trop longtemps regardé comme un péché, il est aujourd’hui valorisé, mais pas toujours pour ce qu’il est. Suspendant les rapports de domination, le désir est profondément féministe. Il n’est pas un simple besoin du corps, ou de la reproduction, mais une expérience capitale qui engage la totalité du corps-esprit. Intimement mêlé à l’amour, il en est le nouveau nom.