Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

Les Économistes contre la démocratie

Sapir Jacques
Date de parution 01/11/2016
EAN: 9782226395092
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
L'économie s'est-elle substituée à la politique ? Tel est peut-être le souhait de certains économistes. Jacques Sapir a pour cible un discours économique qui cherche à vider l'action politique de son sens, un discours qui, sous les dehors d'une soi-d... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurALBIN MICHEL
Nombre de pages264
Langue du livreFrançais
AuteurSapir Jacques
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/11/2016
Poids324 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)-
Pouvoir, mondialisation et démocratie
L'économie s'est-elle substituée à la politique ? Tel est peut-être le souhait de certains économistes. Jacques Sapir a pour cible un discours économique qui cherche à vider l'action politique de son sens, un discours qui, sous les dehors d'une soi-disant rigueur scientifique, est en réalité profondément anti-démocratique. À travers l'apologie que font certains économistes des agences indépendantes et de la mondialisation, c'est le vieux fond libéral hostile à toute forme de souveraineté populaire qui s'exprime. Sous prétexte de parler d'économie, ces économistes veulent nous vendre un droit et une organisation sociale qui les laisseraient libres de tout contrôle et de toute responsabilité. Jacques Sapir analyse le lien qui existe entre une faillite théorique et des comportements souvent douteux. Il montre que le discours de l'économie dominante vise à enfermer le citoyen dans un espace qui n'aurait d'autres bornes que la technique et la compassion, dénonçant le projet de faire de l'expert le seul citoyen habilité à peser surles décisions importantes. Au fur et à mesure que l'expertise des économistes perd en efficacité, monte une nouvelle idéologie, l'expertisme. Elle se construit, explique-t-il, en négation de la chose publique, la République.