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La Cité vertueuse d'Alfarabi

Mahdi Muhsin, Chaire de l'I.M.A., Zabbal Francois
Date de parution 02/11/2000
EAN: 9782226117496
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Tenu par ses successeurs, notamment Avicenne, Averroès et Maïmonide, pour le plus grand philosophe de l'Islam, souvent appelé le "Second Aristote", Alfarabi est demeuré pourtant méconnu depuis le Moyen Âge. Si quelques-unes de ses oeuvres sont passée... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurALBIN MICHEL
Nombre de pages352
Langue du livreFrançais
AuteurMahdi Muhsin, Chaire de l'I.M.A., Zabbal Francois
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution02/11/2000
Poids466 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,00 x 14,40 x 22,40 cm
La fondation de la philosophie politique en Islam
Tenu par ses successeurs, notamment Avicenne, Averroès et Maïmonide, pour le plus grand philosophe de l'Islam, souvent appelé le "Second Aristote", Alfarabi est demeuré pourtant méconnu depuis le Moyen Âge. Si quelques-unes de ses oeuvres sont passées chez les Latins, ses écrits les plus importants sont restés inaccessibles, les textes arabes, enfouis dans les bibliothèques, ne circulant plus dans le monde musulman. Il y a cinquante ans, le grand historien de la philosophie politique, Leo Strauss, pressentant l'importance majeure d'Alfarabi pour la compréhension de la philosophie médiévale, préconisait déjà une étude attentive de ses oeuvres. Cette tâche, Muhsin Mahdi (qui fut son étudiant avant de devenir son ami) allait la mener à bien. Au cours de ses recherches, il découvrit des manuscrits plus anciens que ceux qui étaient disponibles ou des ouvrages jusque-là inconnus, comme Le livre des lettres. C'est donc la substance de trente années d'études sur Alfarabi qui est présentée dans cet ouvrage. On y trouvera pour la première fois exposées une démarche et une oeuvre qui sont au point de départ de la philosophie médiévale dans ses trois courants : musulman, hébraïque et latin. Car Alfarabi, prenant ses distances vis-à-vis de la tradition philosophique de Bagdad où dominaient les aristotéliciens chrétiens, pose la question centrale de l'origine humaine ou divine des lois. De cette manière, il mettait la tradition philosophique en demeure de relever le défi posé par les religions révélées - en particulier la fondation de la cité par un prophète.