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Lettre ouverte à un jeune homme sur la conduite de la vie

Maurois André
Date de parution 07/04/1976
EAN: 9782226003096
Disponibilité Manque temporaire
Les élèves d'aujourd'hui n'apprennent plus l'histoire à l'école, et guère davantage au lycée. Ils ignorent aussi bien Jaurès que Bismarck. Est-ce leur faute ? Les programmes publiés par le ministère découragent les meilleures bonnes volontés et condu... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurALBIN MICHEL
Nombre de pages176
Langue du livreFrançais
AuteurMaurois André
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution07/04/1976
Poids242 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 12,00 x 18,50 cm
Les élèves d'aujourd'hui n'apprennent plus l'histoire à l'école, et guère davantage au lycée. Ils ignorent aussi bien Jaurès que Bismarck. Est-ce leur faute ? Les programmes publiés par le ministère découragent les meilleures bonnes volontés et conduisent les enfants à pratiquer, quand ils en ont le goût, une histoire buissonnière, celle qui les amuse, les intéresse, les distrait et les fait réfléchir. Cette histoire-là ne se trouve plus à l'école mais au cinéma, à la TV, à la radio. Particulièrement l'histoire de France. La plupart des pays du monde - ceux de l'Est, ceux du "tiers monde" - tiennent passionnément à leur histoire nationale. La France n'est plus de ceux-là. Pourtant, récemment, l'opinion publique s'en est émue. Sans effet notable. Que peut-on faire ? Quelle histoire faut-il enseigner à nos enfants ? Comment arrêter, dans leur oeuvre de démolition, les sabordeurs de l'histoire ? Le pays qui a actuellement l'école historique la plus riche et la plus féconde du monde sera-t-il impuissant à formuler, pour sa jeunesse, un programme éducatif réaliste, concret, attrayant ? Pierre Miquel s'est efforcé de poser la question dans ses termes actuels, en voyant aussi ce que font les autres pays. En écrivant l'histoire, dit-il, non du point de vue de ceux qui la font, mais du point de vue de ceux qui la subissent, on peut changer beaucoup de choses à l'esprit de l'enseignement.