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Le supplice des week-ends - Pavillons poche

Benchley Robert, Vieilhomme Paulette
Date de parution 14/01/2010
EAN: 9782221115107
Disponibilité Epuisé
" Inutile de le dire, le sujet, ici, compte peu, même s'il a souvent son charme et sa force de percussion. Quel qu'il soit, bon gré, mal gré, Benchley en tire toujours quelque chose. Avec un sang froid et une logique seconde (...), avec une insolence... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurROBERT LAFFONT
Nombre de pages301
Langue du livreFrançais
AuteurBenchley Robert, Vieilhomme Paulette
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution14/01/2010
Poids203 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,70 x 12,30 x 18,30 cm
" Inutile de le dire, le sujet, ici, compte peu, même s'il a souvent son charme et sa force de percussion. Quel qu'il soit, bon gré, mal gré, Benchley en tire toujours quelque chose. Avec un sang froid et une logique seconde (...), avec une insolence glacée, un sens du coq-à-l'âne et de la dialectique qui lui appartiennent en propre. " Jacques SternbergLe Supplice des week-ends est composé de courts articles de Robert Benchley parus dans la presse américaine dans la première moitié du XXe siècle. Ce sont tous des textes humoristiques placés sous le signe de l'absurde inspirés par des situations de la vie quotidienne et des paradoxes de l'existence moderne : des textes satiriques sur la vie sociale (les fausses politesses entre les gens, comment éviter le dimanche) et sur la vie d'entreprise, des pastiches (un interrogatoire de tribunal, un scénario pour une tragédie américaine) ou encore des textes qui tournent en dérision le langage de la finance et les prétentions de l'économie en tant que science. Tous ces articles restent très actuels. Dans un registre plus sérieux mais qui ne manque pas d'ironie, l'auteur réfléchit à la définition de l'humour. Il remet en question sa propre légitimité d'auteur sans éviter les pieds de nez. En découle une satire sur ces auteurs qui décrivent leurs processus créatifs.Grâce à l'humour et sur un ton pince-sans-rire, Robert Benchley n'épargne rien ni personne et ose dire tout haut ce qui se pense parfois tout bas.