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AVEC ET POUR AUGUSTIN

MANDOUZE CHRISTINE, PETRI LUCE
Date de parution 02/12/2013
EAN: 9782204097475
Disponibilité Manque temporaire
« Le choix même du titre des Mélanges scientifiques" voulu par André Mandouze (1916-2006), "Avec et pour Augustin", est à l'image de son auteur "entré en Augustin" dès 1937. Pour ce chrétien, mobilisé de Résistance en résistances, pour cet éminent la... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCERF
Nombre de pages-
Langue du livreFrançais
AuteurMANDOUZE CHRISTINE, PETRI LUCE
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution02/12/2013
Poids854 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,10 x 14,50 x 23,50 cm
« Le choix même du titre des Mélanges scientifiques" voulu par André Mandouze (1916-2006), "Avec et pour Augustin", est à l'image de son auteur "entré en Augustin" dès 1937. Pour ce chrétien, mobilisé de Résistance en résistances, pour cet éminent latiniste, de l'Église des Pères à la Cité des hommes, Augustin et ses pairs ont constitué un terrain de prédilection. De 1937 à 1968 — date de sa soutenance de thèse ("Saint Augustin. L'aventure de la raison et de la grâce") et de sa nomination à la Sorbonne et jusqu'à ses « Mémoires » (1998-2003), André Mandouze, sollicité par l'urgence des événements, n'a cessé, à l'image des Pères de l'Église traités de "terribles bagarreurs", de se lancer dans des combats tant idéologiques que politiques, scientifiques que théologiques. Le disciple d'Augustin a d'ailleurs su faire sienne la partialité du maître : "Comme quoi l'appréciation de la subjectivité est encore un des meilleurs moyens de servir l'objectivité." En 2005, il élabore le plan de ses "Mélanges" et justifie le choix de "membra disiecta" parmi ses textes sur Augustin. Se libérant par ailleurs de toute chronologie, il choisit un parcours thématique circonstanciel. Et de constater, en 2001 : "Bien loin de me détourner définitivement de ma thèse, l'Algérie a réussi, contrairement au risque assumé, à m'acculer à finir de mettre en forme ce en quoi j'étais déjà lancé avant d'aborder son rivage. En somme, c'est l'Algérie d'Augustin qui a eu le dernier mot." » [Christiane Mandouze]"