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CONFLIT ET UTOPIE, OU RÉFORMER L'ÉGLISE

SEGUY JEAN
Date de parution 20/04/1999
EAN: 9782204060042
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Jean Séguy a réuni ici douze essais. L'approche socio-historique de l'auteur met en perspective les divers aspects de ces christianismes d'intensité qui s'expriment en des formes sociales variées : soit - selon une typologie wébéro-troeltschienne - s... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCERF
Nombre de pages-
Langue du livreFrançais
AuteurSEGUY JEAN
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution20/04/1999
Poids562 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,50 x 13,50 x 21,50 cm
Jean Séguy a réuni ici douze essais. L'approche socio-historique de l'auteur met en perspective les divers aspects de ces christianismes d'intensité qui s'expriment en des formes sociales variées : soit - selon une typologie wébéro-troeltschienne - sous forme de sectes, d'Églises libres, d'ordres religieux. Ces groupements, lorsqu'ils relèvent du terrain protestant, s'observent principalement dans les univers anglo-saxon et germanique. C'est en étudiant ces phénomènes - ordres religieux compris - que l'auteur a rencontré Max Weber (historien de l'économie et théoricien du social) ainsi que Ernst Troeltsch (théologien luthérien et socio-historien de la pensée sociale chrétienne). Les différents articles réunis dans ce volume permettent de tester certaines des perspectives des auteurs en question. Chemin faisant, Jean Séguy constate que certains thèmes eschatologiques communs à l'ordre et à la secte ont également à faire avec certaines aspirations médiévales et modernes à la réforme de l'Église et cette dernière avec le concept d'utopie, avec le conflit comme concept et phénomène - soit dans l'Église, soit hors d'elle - avec encore des matrices d'eschatologie dont joachimisme et post-joachimisme ne sont que les plus connues. À Max Weber et à Troeltsch, l'auteur emprunte concepts, thèmes et perspectives pour partie au moins. Sur son rapport au sociologue de Heidelberg et à la rationalité du moderne, les dernières pages de l'Introduction livrent la pensée de Jean Séguy.