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LA PAROLE QUI GUERIT

DREWERMANN EUGEN
Date de parution 18/02/1991
EAN: 9782204043007
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
« Lorsqu'une route est construite de telle façon que toutes les voitures tombent dans le fossé au même endroit, le responsable est le constructeur et non pas le chauffeur. » C'est ce que pensait Adam après son péché. Si les hommes sont libres de ne p... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCERF
Nombre de pages327
Langue du livreFrançais
AuteurDREWERMANN EUGEN
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution18/02/1991
Poids488 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,60 x 14,60 x 23,50 cm
« Lorsqu'une route est construite de telle façon que toutes les voitures tombent dans le fossé au même endroit, le responsable est le constructeur et non pas le chauffeur. » C'est ce que pensait Adam après son péché. Si les hommes sont libres de ne pas commettre de péché, pourquoi de tous temps ont-ils péché et pourquoi ont-ils besoin de rédemption ? Dans les discussions théologiques concernant le péché originel, la doctrine de l'Église ne fait que se reproduire elle-même. Elle n'éclaire pas la vie. C'est en son nom que la sexualité est dévalorisée et les êtres humains neutralisés pour être soumis inconditionnellement à l'Église. Une telle doctrine du péché a toujours été une idéologie de pouvoir et de domination, un instrument d'aliénation. Mais le problème reste : qu'est-ce qui nous pousse, dans l'exercice de la liberté, à transgresser le commandement de Dieu et à vouloir être comme lui ? C'est ici que la psychanalyse nous aide à avancer, comme la philosophie de l'existence, la psychologie animale, l'histoire des religions, les contes... Comme un ascenseur qui relie les différents plans de l'existence humaine, étage après étage, toutes ces approches renvoient au problème central de l'angoisse » (E. Drewermann). En comprenant les symboles qui nous habitent, nous pouvons être délivrés de nos peurs enfouies et retrouver pleinement le goût de vivre. La Bonne Nouvelle qui libère ne peut s'imposer à l'auditeur sous la forme d'une parole d'autorité, mais doit être reconnue par chacun comme juste et vraie.