Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

Pour une sociologie de l'éthique

Ladrière Paul
Date de parution 15/03/2001
EAN: 9782130509899
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Les quatre auteurs dont il est question dans cet ouvrage, choisis en raison de leur radicalité, poursuivent en réalité le même objectif. Chacun d'entre eux est soucieux de la spécificité et de la relative autonomie des sciences humaines et sociales. ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPUF
Nombre de pages464
Langue du livreFrançais
AuteurLadrière Paul
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution15/03/2001
Poids555 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,50 x 13,50 x 21,50 cm
Les quatre auteurs dont il est question dans cet ouvrage, choisis en raison de leur radicalité, poursuivent en réalité le même objectif. Chacun d'entre eux est soucieux de la spécificité et de la relative autonomie des sciences humaines et sociales. Ils empruntent cette nouvelle voie dans l'histoire des sciences sans perte de mémoire et en reconnaissant de facto les liens qui continuent d'exister entre sociologie et philosophie. Lorsqu'il est question de problèmes moraux, ils les situent dans le cadre général de l'action, si bien que leur sociologie de la morale demeurée si importante chez chacun d'entre eux, est intimement intégrée à leur théorie propre de l'action. La réticence vis-à-vis des particularismes et vis-à-vis d'un pur relativisme, réputés indépassables, leur est pour l'essentiel commune, l'universalisme en morale est considéré par eux raisonnablement pensable dans une perspective critique. Aucun d'eux ne se résout à faire basculer la morale dans l'irrationnel et ceci en raison du rapport sans doute indestructible à leurs yeux qui existe entre raison et morale. On peut penser que cette proximité saisissante de quatre sociologies par ailleurs divergentes, indique une affinité avec la philosophie kantienne et plus lointainement avec l'éthique aristotélicienne. C'est pourquoi la première partie de l'ouvrage débute par une lecture de l"'Ethique à Nicomaque" d'Aristote et par une lecture de la "Critique de la raison pratique" de Kant. Ces lectures sont celles d'un sociologue à la recherche des racines de sa propre discipline.