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Note de conjoncture (juin 2016)

INSEE
Date de parution 17/06/2016
EAN: 9782111513006
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
La reprise s’auto-entretient dans la zone euroL’année 2016 a commencé par une nouvelle accélération de l’activité dans la zone euro (+0,6 % après +0,4 %). Le produit intérieur brut a augmenté plus vivement qu’attendu en France et en Allemagne et la c... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurINSEE
Nombre de pages140
Langue du livreFrançais
AuteurINSEE
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution17/06/2016
Poids513 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,80 x 21,00 x 29,70 cm
La reprise s’auto-entretient dans la zone euroL’année 2016 a commencé par une nouvelle accélération de l’activité dans la zone euro (+0,6 % après +0,4 %). Le produit intérieur brut a augmenté plus vivement qu’attendu en France et en Allemagne et la croissance n’a faibli ni en Espagne, ni en Italie. Les fondamentaux de cette croissance semblent désormais robustes, comme l’atteste la bonne orientation du climat des affaires. Alors que les exportations avaient tiré la croissance en 2015, la demande intérieure prendrait le relais en 2016 pour l’entretenir à un niveau stabilisé, légèrement au-dessus de +1,5 % en rythme annuel. La croissance de la zone résisterait ainsi à un environnement international de nouveau moins porteur. Le ralentissement des économies anglo-saxonnes se confirmerait en 2016, d’autant que côté britannique, l’incertitude sur la perspective d’un « Brexit » provoque l’attentisme des investisseurs. Les économies émergentes redémarreraient timidement mais le commerce mondial croîtrait encore nettement moins vite qu’avant-crise En France comme dans la zone euro, la résistance à ce contexte mondial résulterait des mêmes impulsions qu’en 2015. Même si son cours a récemment rebondi, le baril de pétrole reste mi-2016 environ moitié moins cher que mi-2014. Sa baisse passée contribue à une inflation encore très faible, ce qui stimule le pouvoir d’achat des ménages. Celui-ci est d’autant plus solide que l’accélération de l’activité se diffuse à l’emploi. La croissance de la consommation des ménages serait de ce fait stabilisée en moyenne sur l’année. Les entreprises continueraient de redresser leur situation financière, améliorant ainsi les conditions de financement de leur investissement productif : celui-ci serait le principal facteur de l’accélération de l’activité en 2016. En moyenne sur l’année, la croissance s’élèverait à +1,6 %, après +1,2 % en 2015, ce qui constituerait sa plus forte hausse depuis 2011. Seul le commerce extérieur apporte une ombre à ce tableau globalement dégagé, car il limiterait plus encore la croissance que l’an dernier. L’accélération de l’activité et les politiques d’allègement du coût du travail sur les b