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Note de conjoncture (Juin 2014)

INSEE
Date de parution 25/06/2014
EAN: 9782111392427
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
La croissance revient mais ne décolle pas Alors que fin 2013 l’amélioration du climat des affaires annonçait une consolidation de la reprise dans les économies avancées, le début d’année 2014 a été plutôt décevant. À l’exception notable de l’Allemagn... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurINSEE
Nombre de pages138
Langue du livreFrançais
AuteurINSEE
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution25/06/2014
Poids506 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,80 x 21,00 x 29,70 cm
La croissance revient mais ne décolle pas Alors que fin 2013 l’amélioration du climat des affaires annonçait une consolidation de la reprise dans les économies avancées, le début d’année 2014 a été plutôt décevant. À l’exception notable de l’Allemagne, l’activité a été dans l’ensemble moins dynamique que prévu dans les économies avancées alors que le ralentissement annoncé dans les économies émergentes s’est, lui, confirmé. Le commerce mondial s’est nettement contracté, pour la première fois depuis 2009. En conséquence, les exportations françaises ont fortement ralenti, notamment celles à destination de nos partenaires extra-européens. La faiblesse de l’activité dans nombre de pays résulte en partie de facteurs ponctuels. Ainsi, l’économie américaine a été handicapée par les rigueurs de l’hiver. De même les pays émergents ont souffert d’un nouveau retrait des capitaux étrangers. En France, l’activité a stagné au premier trimestre avec, outre la contraction de la demande mondiale, des facteurs qui lui sont propres : en particulier le contrecoup d’achats anticipés de véhicules fin 2013 et la baisse des dépenses d’énergie, du fait d’un hiver particulièrement doux. Au printemps 2014, la dissipation de ces facteurs ponctuels défavorables permettrait un léger rebond. En France, comme dans la zone euro, la reprise de l’activité serait toutefois modeste (+0,3 % au deuxième trimestre) car des facteurs persistants continuent d’en limiter l’ampleur. Le pouvoir d’achat des ménages s’améliore certes, mais trop modestement pour conduire à une franche accélération de leur consommation, et pour empêcher l’investissement en logements neufs de continuer de se replier. Confrontées à une demande qui ne décolle pas, et avec un taux de marge qui se redresse mais reste bas, les entreprises ne sont pas enclines à investir. Enfin, les exportations françaises ne profiteraient pas pleinement de l’accélération attendue du commerce mondial, pénalisées notamment par l’appréciation passée de l’euro. Ainsi, le climat des affaires retracé dans les enquêtes de conjoncture, qui a cessé de s’améliorer depuis neuf mois, reste à un niveau inférieur à son niveau moyen de longue période.