Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Fantasme et formation

Kaës René, Anzieu Didier, Thomas Louis-Vincent
Date de parution 05/03/2014
EAN: 9782100702404
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Quelle que soit la pratique sociale ou l’institution considérée, il n’y a pas de formation sans une fantasmatique sous-jacente. Et de fait, lorsque l’on tente de caractériser le désir de former des êtres humains, il y est question d’amour, de plaisir... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDUNOD
Nombre de pages184
Langue du livreFrançais
AuteurKaës René, Anzieu Didier, Thomas Louis-Vincent
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution05/03/2014
Poids269 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,00 x 15,50 x 24,00 cm
Quelle que soit la pratique sociale ou l’institution considérée, il n’y a pas de formation sans une fantasmatique sous-jacente. Et de fait, lorsque l’on tente de caractériser le désir de former des êtres humains, il y est question d’amour, de plaisir et de souffrance, mais aussi de haine, de violence et de culpabilité.Les travaux présentés ici ont en commun le souci de reconnaître à l’oeuvre – dans le projet et l’activité de former, de se former et d’être formé – la dimension du fantasme : le désir de formation s’inscrit dans les prototypes infantiles des relations, là où se jouent les questions et les réponses de l’origine (celle du sujet et celle de l’espèce).Mais ce désir s’inscrit aussi dans le corps social et dans la culture : institutions et mythes de la formation gèrent l’économie du désir, ils en assurent la légitimité ou l’illégitimité… La question qui affleure alors est de savoir qui est bénéficiaire de cette gérance ? Le sujet singulier ou le sujet social ? Et au prix de quels compromis ?