Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

La Fin du politique

Birnbaum Pierre
Date de parution 01/05/1975
EAN: 9782020027908
Disponibilité Manque temporaire
Vivons-nous la fin de l'âge politique ?C'est ce qu'affirme implicitement la science politique dominante, à la suite des principaux théoriciens américains tels que Parsons, Deutsch, Easton, Dahl, Blau, etc. Sous l'influence grandissante de la science ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSEUIL
Nombre de pages288
Langue du livreFrançais
AuteurBirnbaum Pierre
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/05/1975
Poids1 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,10 x 0,10 x 0,10 cm
Vivons-nous la fin de l'âge politique ?C'est ce qu'affirme implicitement la science politique dominante, à la suite des principaux théoriciens américains tels que Parsons, Deutsch, Easton, Dahl, Blau, etc. Sous l'influence grandissante de la science et des techniques, les sociétés occidentales seraient parvenues à rejeter les chimères idéologiques génératrices des déséquilibres et des conflits permanents. Il serait désormais possible à des élites professionnelles politiquement neutres d'organiser scientifiquement la société, dans le sens de l'intérêt général, à l'écart des phénomènes anciens de pouvoir et de domination.L'administration scientifique des choses par des élites spécialisées remplacerait le gouvernement des hommes, cependant que la masse des citoyens se contenterait de son intégration dans des groupes primaires affectifs.Pierre Birnbaum montre que ces tendances actuelles sont un nouvel avatar des courants organicistes et positivistes du dix-neuvième siècle (Saint-Simon, Spencer, Auguste Comte, etc.) qui s'opposent aux théories classiques de la démocratie fondées sur la participation des citoyens.Le bilan critique de ce modèle dominant devrait permettre de réagir contre ce qu'il faut bien appeler une régression et une tentative pour détourner les hommes de la maîtrise de leur destin collectif.