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Introduction générale à l'étude des doctrines hindoues

Guénon René
Date de parution 14/06/2017
EAN: 9781911417910
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Bien des difficultés s'opposent, en Occident, à une étude sérieuse et approfondie des doctrines orientales en général, et des doctrines hindoues en particulier ; et les plus grands obstacles, à cet égard, ne sont peut-être pas ceux qui peuvent proven... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurOMNIA VERITAS
Nombre de pages314
Langue du livreFrançais
AuteurGuénon René
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution14/06/2017
Poids423 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 15,20 x 22,90 cm
Bien des difficultés s'opposent, en Occident, à une étude sérieuse et approfondie des doctrines orientales en général, et des doctrines hindoues en particulier ; et les plus grands obstacles, à cet égard, ne sont peut-être pas ceux qui peuvent provenir des Orientaux eux-mêmes. En effet, la première condition requise pour une telle étude, la plus essentielle de toutes, c'est évidemment d'avoir la mentalité voulue pour comprendre les doctrines dont il s'agit, nous voulons dire pour les comprendre vraiment et profondément ; or c'est là une aptitude qui, sauf de bien rares exceptions, fait totalement défaut aux Occidentaux. D'autre part, cette condition nécessaire pourrait être regardée en même temps comme suffisante, car, lorsqu'elle est remplie, les Orientaux n'ont pas la moindre répugnance à communiquer leur pensée aussi complètement qu'il est possible de le faire.S'il n'y a pas d'autre obstacle réel que celui que nous venons d'indiquer, comment se fait-il donc que les « orientalistes », c'est-à-dire les Occidentaux qui s'occupent des choses de l'Orient, ne l'aient jamais surmonté ? Et l'on ne saurait être taxé d'exagération en affirmant qu'ils ne l'ont jamais surmonté en effet, lorsqu'on constate qu'ils n'ont pu produire que de simples travaux d'érudition, peut-être estimables à un point de vue spécial, mais sans aucun intérêt pour la compréhension de la moindre idée vraie.C'est qu'il ne suffit pas de connaître une langue grammaticalement, ni d'être capable de faire un mot-à-mot correct, pour pénétrer l'esprit de cette langue et s'assimiler la pensée de ceux qui la parlent et l'écrivent. On pourrait même aller plus loin et dire que plus une traduction est scrupuleusement littérale, plus elle risque d'être inexacte en réalité et de dénaturer la pensée, parce qu'il n'y a pas d'équivalence véritable entre les termes de deux langues différentes, surtout quand ces langues sont fort éloignées l'une de l'autre, et éloignées non pas tant encore philologiquement qu'en raison de la diversité des conceptions des peuples qui les emploient ; et c'est ce dernier élément qu'aucune érudition ne permettra jamais de pénétrer.