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Graffitiart N°35 Octobre/Novembre 2017

Collectif
Date de parution 29/09/2017
EAN: 3663322095108
Disponibilité Manque temporaire
Ce numéro 35 démarre fort sur une couverture dédiée au duo allemand Low Bros et à leur loup emblématique. Après quelques expéditions américaines, nous revenons sur les rivages européens avec une visite au Festival Nuart en Norvège et Upeart en Finla... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurGRAFFITI ART
Nombre de pages100
Langue du livreFrançais
AuteurCollectif
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution29/09/2017
Poids4 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,60 x 22,00 x 29,00 cm
Ce numéro 35 démarre fort sur une couverture dédiée au duo allemand Low Bros et à leur loup emblématique. Après quelques expéditions américaines, nous revenons sur les rivages européens avec une visite au Festival Nuart en Norvège et Upeart en Finlande. Ces murs qui viennent du froid explosent les limites du genre avec brio. Un espagnol s'est invité à Marseille et c'est l'occasion d'une rencontre de fond avec Gonzalo Borondo alors qu'il prépare son show monumental, « Matière Noire ». Exclusif ! Un autre espagnol installé à Berlin, Vermibus nous entraine dans ses interventions anti-publicitaires et imprime dans notre psyché ses visages « d'anti-beauté » comme autant de trous noirs nous renvoyant au désespoir de la société consumériste. Amandine Urruty nous entraîne à la suite de Jérôme Bosch dans ses fresques foisonnantes qui rappellent que l'enfer est pavé de bonnes intentions. Quant à l'allemand Hendrik Czakainski, il piste les images de catastrophes captées par les satellites pour produire d'émouvants volumes où s'expriment les désordres d'un monde devenu un peu trop dense pour l'être humain. Le français Ludo nous ramène vers la critique sociale en mobilisant ses insectes technoïdes à dominante verte et fort accent d'ironie. Nous enquêtons ensuite l'irruption de l'art urbain dans les musées dans un dossier qui laisse de coté la question de la légitimité pour se focaliser sur les lieux, les collections et la vague toujours plus forte du mouvement en cours. Enfin, dans un détour par Los Angeles, nous visitons la galerie Thinkspace et Andrew Hosner, son patron, qui nous raconte comment il applique au commerce de l'art les technique des producteurs du rock métal. Un numéro qui nous annonce un automne combatif, transgressif et beau.