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L'Odyssée des femmes

Homère, Mesguich Daniel
Date de parution 06/09/2018
EAN: 3328140023602
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Extraits choisis et transposition du grec ancien par Emmanuel LascouxAprès L'Iliade des femmes, Daniel Mesguich, fils aimé de la Muse française, et Emmanuel Lascoux, helléniste rêveur à haute voix de grec ancien, renouent avec la formidable épopée qu... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDES FEMMES
Nombre de pages-
Langue du livreFrançais
AuteurHomère, Mesguich Daniel
FormatCD-Audio
Type de produitLivre
Date de parution06/09/2018
Poids84 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,80 x 12,60 x 14,00 cm
1 CD MP3
Extraits choisis et transposition du grec ancien par Emmanuel LascouxAprès L'Iliade des femmes, Daniel Mesguich, fils aimé de la Muse française, et Emmanuel Lascoux, helléniste rêveur à haute voix de grec ancien, renouent avec la formidable épopée qui a donné naissance à la littérature. Naissance donnée par un choeur de femmes, à commencer par Hélène et jusqu'à la patiente Pénélope, dans cette Odyssée des femmes. Comme elle, Emmanuel Lascoux tisse et déploie, avec Daniel Mesguich, l'étoffe de ce chant autour des femmes et les déesses, brodeuses, amantes, guerrières, soeurs ou ennemies, qui en sont la force.« Je passe tout mon temps à me cuire le coeur aux regrets de mon Ulysse, mon Amour. Eux, ils veulent précipiter le mariage ; moi, je dévide le fil de mes ruses. Une étoffe, voilà l'idée que m'a soufflée une divinité : dresser un grand métier, dans mon palais, et me mettre à tisser, du travail surfin, une pièce interminable ! Après, je leur propose : « Jeunes gens, chers Prétendants, Ulysse est mort, ce dieu ! Patience, ne précipitez pas mon mariage, voyez-vous cette étoffe ? Attendez que je l'aie terminée - quel dommage de gâcher tout ce fil ! C'est un linceul pour Laèrte, ce héros, pour le jour où la destinée l'appellera, où la mort au deuil sans fin le prendra. » Voilà ce que je leur dis, et voilà qu'ils le gobent, ces braves ! Alors je passe mes journées à tisser à mon grand métier et mes nuits à tout défaire, aux lumières dont je m'éclaire. »