Un lien entre les questions scientifiques,médicales et spirituelles
Vivre, c’est rencontrerUn lien entre les questions scientifiques, médicales et spirituelles « Nous vivons non seulement en relations, en interactions, mais nous vivons de nos relations, de nos rencontres : elles sont notre nourriture. Elles structurent peu à peu notre « Je ». Elles cessent, nous disparaissons. » Et si l’Univers était une vaste symphonie, d’abord imperceptible, de particules chargées du désir de rencontrer d’autres particules jusqu’à l’explosion de la diversification dans le Big-Bang ? L’homme ? Le fruit de cette musique qui génère et anime chaque individu, ses relations avec lui-même et les autres. Grâce à la rencontre nous existons, pour elle nous vivons. En contre-pied d’une vision centrée sur l’individu, cet ouvrage propose une sorte de révolution des consciences face au monde : à la source du « moi », à la source de l’« autre », c’est la mise en relation qui construit la réalité, nos réalités. La vie devient « animation » et prend un autre sens, bien plus riche dans sa diversité et par l’amour qui la structure. C’est cette richesse de la rencontre que l’auteur – médecin, clinicien et chercheur – choisit d’explorer comme cadre d’une réflexion sur le monde, la médecine et la spiritualité. Une vision originale, généreuse et féconde grâce à laquelle l’homme trouve sereinement sa place dans l’Univers, la société et face au mystère du « Tout Autre ».Le Professeur Louis Dubertret a enseigne´ la Dermatologie à l’hôpital Saint-Louis. Il y a construit l’Institut de recherche sur la peau et dirige´ l’unité Inserm 312. Son équipe a été la première dans le monde à reconstruire un équivalent vivant de la peau humaine en laboratoire et à la greffer chez l’homme, ce qui lui a valu le Grand prix Claude Bernard. Il a coordonne´ les recherches de 8 laboratoires INSERM et CNRS sur les médicaments activés par la lumière, couronnées par le prix Galien. Membre fondateur de l’Académie des Technologies, il en a dirigé le comité d’éthique. Il plaide depuis 30 ans pour promouvoir une prise en charge médicale centrée sur le patient.
