Treatment in progress...
Close notification

Our telephone...

is currently not working. We're doing all we can to get the problem solved as soon as possible. 
In the meantime, please use e-mail to contact us.

Display notification

LES AUTOMOBILES AU SALON DE PARIS PARTIE 2 - 1955 A 1961

Fabien SABATES
Publication date 28/02/2017
EAN: 9791096322046
Availability Available from publisher
La guerre fut la césure du siècle dernier. On s’était habitué à dire « avant-guerre» et « après-guerre » ce qui scindait bien le siècle en deux parties.Pour le monde automobile, la partie d’après-guerre n’avait plus grandchose à voir avec celle d’ava... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherANTIQUE AUTOS
Page Count264
Languagefr
AuthorFabien SABATES
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date28/02/2017
Weight670 g
Dimensions (thickness x width x height)0.00 x 16.00 x 23.00 cm
La guerre fut la césure du siècle dernier. On s’était habitué à dire « avant-guerre» et « après-guerre » ce qui scindait bien le siècle en deux parties.Pour le monde automobile, la partie d’après-guerre n’avait plus grandchose à voir avec celle d’avant-guerre qui était devenue totalement obsolète.La guerre, fort profitable à l’évolution technologique, lui fit faire ungrand bond en avant ; ainsi l’automobile est-elle devenue un engin plusfiable, plus fluide, plus accessible, mais toujours aussi magique aux yeuxdes foules. Les salons de l’automobile attiraient chaque année de plus enplus de visiteurs enthousiastes — les Français adoraient l’automobile —et de plus en plus d’acheteurs ; c’était souvent les mêmes. Pour montrerqu’une page d’Histoire était tournée, les groupes Allemands et Italienseux-mêmes exposaient à Paris. La diversité des marques et des modèlessemble bien floue aujourd’hui et seul un ouvrage précis sur les Salon del’automobile au Grand Palais permet de visualiser l’évolution et la modernitédes voitures de cette époque.J’ai choisi de m’arrêter quand le Salon déménagea Porte de Versailles.La lumière, lugubre, n’était plus la même, les carrosseries perdaient toutemagie… Une page se tournait et pas pour le meilleur. Sans l’ambianceunique du Grand Palais, le Salon de l’automobile y a laissé son âme. L’immensecube de la porte de Versailles, par sa froide modernité bétonnée,était devenu une espèce de grand garage de bagnoles à vendre.