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Jorge Mendes : Mes clés pour réussir dans le football

Mendes Jorge, Ronaldo Cristiano
Publication date 06/04/2016
EAN: 9791093463322
Availability Available from publisher
L’OUVRAGE - AutobiographieSes 85 millions d’euros de commissions cette année ont fait le tour du monde. Comme le transfert cet été le plus cher du foot français, Anthony Martial de Monaco à Manchester United 80 millions d’Euros.Le Portugais gère l... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherTALENT SPORT
Page Count264
Languagefr
AuthorMendes Jorge, Ronaldo Cristiano
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date06/04/2016
Weight498 g
Dimensions (thickness x width x height)2.50 x 15.00 x 24.00 cm
L’OUVRAGE - AutobiographieSes 85 millions d’euros de commissions cette année ont fait le tour du monde. Comme le transfert cet été le plus cher du foot français, Anthony Martial de Monaco à Manchester United 80 millions d’Euros.Le Portugais gère les carrières de Cristiano Ronaldo, Radamel Falcao, Angel Di Maria, José Mourinho et Raphaël Varane, pour ne citer que les plus célèbres. Il possède aujourd’hui un réseau si vaste qu’il peut se permettre de contrôler (ou presque) le Real Madrid et de placer son ami Peter Lim à la tête de Valence. Pour en arriver là, il a beaucoup travaillé. C’est d’ailleurs, d’après lui, son seul mérite. « N’importe qui dans les mêmes conditions peut obtenir les mêmes résultats. » N’importe qui capable d’enchaîner des journées de 20 heures au téléphone et d’avaler des kilomètres pour décrocher des rendez-vous. N’importe qui doté d’un sens des affaires et d’une capacité de persuasion hors du commun.Car si Cristiano Ronaldo est devenu le meilleur joueur du monde en tutoyant le ballon dès son plus jeune âge, il en est de même pour Jorge Mendes avec les affaires. C’est à Lisbonne, au Feira da Ladra (le marché des voleurs), que le petit Mendes réalise ses premiers gros coups en vendant les babioles du domicile parental en cachette.« Quand on faisait les comptes à la fin de la journée, j’avais gagné 300 ou 400 escudos et lui 5 000 ! », se souvient José Basso, son voisin d’échoppe à l’époque.